Texte intégral : Le choix historique de la voie de développement au Tibet

                 French.xinhuanet.com | Publié le 2015-04-15 à 13:13

La clique du XIVe dalaï-lama a publié un Guide de l'immolation, incitant les Tibétains sur le sol chinois à s'immoler. L'auteur de ce livre, Lhamo Kyab, a successivement cumulé deux mandats en tant que député au "parlement en exil". Le Guide de l'immolation comprend quatre parties : la première partie claironne que les immolateurs sont de "grands et glorieux héros", incitant à les hommes et les femmes héroïques à sacrifier leur vie ; la deuxième partie enseigne la "préparation de l'immolation", en conseillant aux immolateurs de "choisir une date et un lieu importants", de "laisser un testament écrit ou enregistré", et de "se faire photographier ou filmer par une ou deux personnes de confiance" ; la troisième partie concerne les "slogans d'immolation", incitant les immolateurs à scander les mêmes slogans ; la quatrième partie aborde la coordination des autres actions liées aux immolations. Il s'agit donc d'un guide de la mort encourageant les gens à se brutaliser et semant ainsi la terreur. La rédaction et la diffusion du Guide de l'immolation incarnent sans doute un péché mortel et vont à l'encontre de l'enseignement du bouddhisme tibétain.

Se brutaliser dans un lieu public est un acte de violence, dont le but est de créer et répandre une atmosphère de terreur. Concernant cette question fondamentale du bien et du mal, le XIVe dalaï-lama endosse un rôle malhonnête. Le 8 novembre 2011, au début des cas d'immolation, interviewé par des médias, il dit : "Là est le problème, il faut du courage, un grand courage pour s'immoler." Il a ainsi exprimé de manière effective son admiration et son affirmation pour les immolateurs. Le 3 janvier 2012, il a justifié l'immolation en déclarant : "Le suicide est en apparence un acte de violence, mais distinguer la non-violence de la violence dépend de son motif ou de son but. Seul un acte provoqué par la colère et la haine fait de lui un acte de violence." De toute évidence, l'immolation est, selon lui, un acte de "nonviolence". Le 8 octobre 2012, il a déclaré lors d'une interview exclusive : "Je suis convaincu que les immolateurs nourrissaient la sincère volonté de se sacrifier, et ce au service de la loi bouddhiste et du bonheur du peuple. D'un point de vue bouddhique, l'acte est positif." A cette occasion, il a encore une fois, sans ambiguïté, reconnu et loué les immolations. Le dalaï-lama a profité de son statut de leadeur religieux pour présider en personne des cérémonies bouddhiques visant à apaiser les souffrances des immolateurs, récitant des soutras et priant pour eux. Ce geste est d'une part très démagogique et, d'une autre part, encourageant pour de simples croyants.

Respecter la vie et s'opposer à toutes les formes de violence sont les principes essentiels du bouddhisme qui s'oppose non seulement au meurtre mais aussi au suicide, prônant la miséricorde consistant à bien traiter, chérir, sauver et protéger la vie. Ne pas attenter à sa propre vie est le précepte le plus strict défini par Sakyamuni. Dans les canons bouddhistes, se suicider et enseigner à l'homme comment se suicider sont tous deux des péchés. Les règles des bhiksu (moines) révélées par le Vinaya en quatre parties, le Vinaya Pitaka de l'école Mahisasaka et les Dix recommandations stipulent : si un moine se tue, incite quelqu'un à le tuer ou apprend aux autres à se tuer, alors il aura violé le principe de l'interdiction de tuer, perdra sa qualification de moine et devra être expulsé du corps monacal. D'un point de vue bouddhique, toute persuasion, tout encouragement et toute admiration favorables au suicide ainsi que tout acte le facilitant sont considérés comme de graves péchés. La clique du XIVe dalaï-lama, face aux auto-immolations des Tibétains, a manifesté une attitude et un agissement d'incitation, constituant ainsi un acte criminel violant non seulement la bonne conscience et la morale de l'humanité mais bafouant également l'enseignement bouddhique en allant à l'encontre de la conception de la vie bouddhique. Pour protéger les droits du peuple et défendre le respect de la loi, le gouvernement chinois a mis en place de nombreux dispositifs afin d'empêcher les immolations et de sauver les innocents et a imposé des sanctions aux criminels liés aux cas d'immolation, dénouant le complot de la clique du XIVe dalaï-lama souhaitant réaliser "l'indépendance du Tibet" à l'aide de ce moyen.

-- La clique du XIVe dalaï-lama sème la haine interethnique et forme des successeurs partisans de la violence pour "l'indépendance du Tibet".

Depuis longtemps, la clique du XIVe dalaï-lama ne cesse de semer la discorde et provoquer des conflits entre les Tibétains et les autres ethnies chinoises, de fomenter les divisions ethniques et de semer la haine interethnique. Dès l'échec de sa rébellion armée de 1959, le XIVe dalaï-lama n'a cessé de déclarer dans ses discours : "Les Han rouges sont écœurants, tel un serpent que l'on enlacerait" ; "Les Han ne sont pas des êtres normaux" ; "Les Han, considérant les Tibétains comme des animaux, les torturent cruellement" ; "Depuis l'arrivée des Han, les souffrances se sont multipliées au Tibet, et les Han sont à l'origine de la croissance de celles-ci" ; "Les Han sont cruels, impitoyables, méchants, et font tout pour anéantir les Tibétains" ; "Le Parti communiste chinois a massacré un million de Tibétains". Au cours de ces dernières années, la clique du XIVe dalaï-lama a renforcé son enseignement haineux, s'appuyant sur les cas d'immolation ; dans les écoles qu'elle gère, des photos d'immolations ont été exposées et les enfants sont forcés de les saluer ; elle s'est attaquée aux politiques du gouvernement central sur le Tibet et a aiguisé la discorde et la haine interethniques.

Le CJT, organisation radicale partisane de "l'indépendance du Tibet" créée en 1970 et directement soumise au XIVe dalaï-lama, a pour objectif de former des "successeurs" soutenant la cause de "l'indépendance du Tibet". Les règlements du CJT exigent de "suivre la sage direction et la guidance du dalaï-lama" pour "se livrer à la juste cause de la liberté et de l'indépendance du Tibet" "au prix de la vie". Dès sa fondation, le CJT n'a cessé de perpétrer des violences et des opérations terroristes. Plusieurs présidents du CJT ont clamé : "La lutte armée et le recours à la violence sont indispensables pour accomplir l'indépendance totale du Tibet" ; "Les activités terroristes peuvent produire un effet maximal au moindre coût" ; "Les opérations terroristes peuvent avoir un rayonnement considérable et attirer l'attention de la communauté internationale sur le problème du Tibet". Le 3 juillet 2003, le président du CJT, Gaisang Puncog, lors d'une interview, a déclaré : "Dans l'intérêt de notre cause, nous devons avoir recours à tous les moyens, que ce soit par le biais de la violence ou celui de la non-violence." Depuis de nombreuses années, le CJT a organisé des actes de violence en incitant de simples civils ignorant la vérité à y participer, mais a aussi formé ses forces armées de réserve. Il a créé une base d'entraînement à Dharamsala en Inde et fondé une Association des militants pour un Tibet libre pour réaliser des activités de sabotage ; il a même envoyé des gens rejoindre des organisations terroristes internationales en vue d'une entraide. De nombreux actes de violence et de terrorisme, survenus au Tibet et dans d'autres régions, sont directement liés au CJT.

Dans l'espoir d'atteindre son but politique visant à former des successeurs pour "l'indépendance du Tibet", la clique du XIVe dalaï-lama a provoqué l'affaire des "orphelins tibétains", causant la séparation d'enfants et de leurs parents. Le journal suisse Neue Zurcher Zeitung a rapporté : dans les années 1960, le XIVe dalaï-lama, de connivence avec des marchands suisses, a arraché de force environ 200 enfants tibétains à leurs parents, les présentant faussement comme des orphelins et les plaçant dans des familles d'adoption en Suisse. Ce faisant, le XIVe dalaï-lama est allé sans honte à l'encontre de l'éthique et de la morale, bafouant les droits des enfants, ce qui est rejeté par la justice et la conscience de l'humanité.

Pour maintenir son autorité et éliminer ses dissidents, la clique du XIVe dalaï-lama a assassiné et persécuté des dissidents sur les plans politique et religieux. Vers la fin des années 1990, le bouddha vivant Kundeling a été attaqué chez lui et grièvement blessé ; les deux jeunes bouddhas vivants Trijang et Sumpa ont été menacés de mort. Ces incidents sont tous directement liés à la clique du XIVe dalaï-lama.

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