L'incident le plus violent a eu lieu le 14 mars 2008. Ce jour-là, à plusieurs endroits à Lhasa, un groupe d'émeutiers, armés de pierres, de couteaux et de bâtons, ont commis de violents actes d'attaque, de vandalisme, de pillage et d'incendie envers des innocents, des véhicules, des magasins, des banques, des services de télécommunication et des bureaux gouvernementaux, portant une grave atteinte à l'ordre public local et causant de grosses pertes humaines et matérielles. Lors de cet incident, les émeutes ont provoqué 300 incendies, touchant 908 boutiques, 7 écoles, 120 locaux civils et 5 hôpitaux à Lhasa, détruisant 10 agences bancaires, réduisant au moins 20 bâtiments en cendres, incendiant 84 voitures, brûlant ou poignardant à mort 18 innocents, et blessant 382 civils dont 58 grièvement blessés. Nombreux sont les faits qui prouvent que l'Incident du 14 mars a été minutieusement conçu et incité par la clique du XIVe dalaï-lama. Suite à cet incident, le XIVe dalaï-lama a confié à son secrétariat privé la publication d'une annonce visant à enjoliver ces violents incidents en les qualifiant de "protestation pacifique". Le 16 mars, lors d'une interview accordée à un journaliste de BBC, le XIVe dalaï-lama dit : "Je respecte la volonté des Tibétains, et je ne leur demande pas de s'arrêter, quoi qu'ils fassent et quand ils le veulent." Parallèlement, le Congrès de la Jeunesse tibétaine (CJT), sous la grande influence du dalaï-lama, a adopté une résolution visant à "fonder immédiatement une guérilla s'introduisant secrètement dans le pays afin de se livrer à une lutte armée". Le chef du CJT a déclaré être prêt à sacrifier une centaine de Tibétains de plus, s'il le fallait, pour remporter une victoire totale.
-- La clique du XIVe dalaï-lama, en sabotant les Jeux olympiques, symbole de la paix, a dévoilé l'hypocrisie de sa "non-violence".
Les Jeux olympiques, symbolisant la paix, l'amitié et le progrès de l'humanité, sont chaleureusement accueillis et chéris par tous les peuples du monde. Les perturbations de la part de la clique du XIVe dalaï-lama, ciblant les Jeux olympiques de Beijing, ont livré une image bien ironique de sa "non-violence".
En mai 2007, les partisans de "l'indépendance du Tibet" et les forces internationales antichinoises ont tenu à Bruxelles, Belgique, la 5e conférence de la Campagne internationale pour le Tibet, avec la participation de Samdhong Rinpoche, chef du "gouvernement tibétain en exil". Cette conférence a adopté un Plan stratégique, décidant de démarrer le boycott des Jeux olympiques 2008 de Beijing. Par la suite, l'organisation des indépendantistes tibétains aux Etats-Unis a proposé d'organiser un "Grand soulèvement du peuple tibétain". Estimant que l'année 2008 était pour eux la dernière occasion d'accomplir "l'indépendance du Tibet", ils ont décidé de profiter de la "bonne occasion" avant les Jeux olympiques, période à laquelle la communauté internationale prêtait une grande attention à la Chine, afin de provoquer des situations de crise en Chine "en réveillant et en coordonnant les actions au Tibet".
Fin 2007, les organisations radicales partisanes de "l'indépendance du Tibet" telles que le CJT et l'Association des femmes tibétaines (AFT) ont tenu une réunion en Inde, déclarant qu'elles déclencheraient un "Mouvement de soulèvement du peuple tibétain". Les 4 et 25 janvier 2008, sept organisations partisanes de "l'indépendance du Tibet" ont tenu, à New Delhi en Inde, une conférence de presse, publiant une Proposition sur le Mouvement de soulèvement du peuple tibétain, la diffusant sur une centaine de sites Web, déclarant le "lancement d'un mouvement continu et d'envergure de soulèvement du peuple tibétain à partir du 10 mars 2008". A cette date, le XIVe dalaï-lama a donné un discours, incitant les hors-la-loi à entamer des actions de violence. Le jour même, le CJT a publié une déclaration stipulant qu'"il faut saisir cette occasion importante, jusqu'alors absente dans la lutte d'indépendance précédente, qu'est celle des Jeux olympiques de cette année" et, "pour l'indépendance du Tibet", "agir sans craindre de verser du sang et d'y perdre la vie".
Avec l'organisation de la clique du XIVe dalaï-lama, les forces partisanes de "l'indépendance du Tibet" ont provoqué une série de troubles à l'échelle mondiale lors de la préparation des Jeux olympiques 2008 de Beijing. Les indépendantistes ont causé à maintes reprises des perturbations lors des principales cérémonies relatives aux Jeux olympiques, dont celle de l'allumage de la flamme et son passage dans de nombreux pays, ces actions ayant causé l'indignation de la communauté internationale.
-- La clique du XIVe dalaï-lama méprise la vie des Tibétains ordinaires en encourageant par sa propagande démagogique les Tibétains ecclésiastiques ou laïcs et les croyants à se brutaliser.
En août 2011, le nouveau chef du soi-disant "gouvernement tibétain en exil", dès son arrivée au pouvoir, a clairement avancé le mouvement de la "non-violence innovatrice". Depuis, la clique du XIVe dalaï-lama incite, par le biais de différents moyens, les Tibétains ecclésiastiques ou laïcs et les croyants à l'intérieur du pays à s'immoler par le feu ; par conséquent, des cas d'immolation ont successivement eu lieu dans certaines régions chinoises. Le 29 mai 2012, lors d'une veillée aux bougies organisée par le CJT en mémoire des Tibétains qui se sont immolés, le chef du CJT a clamé : "L'indépendance du Tibet ne tombera jamais du ciel et ne sortira pas de terre, elle dépend de nos efforts et de nos actions, elle a un prix." Du 25 au 28 septembre 2012, la clique du XIVe dalaï-lama a convoqué une deuxième Réunion spéciale mondiale des Tibétains en exil, précisant que l'immolation serait considérée comme "la plus haute forme des actions de non-violence" et les immolateurs, comme des "héros nationaux" et que la mise en place d'un fonds spécial ainsi que la construction d'un mémorial en leur honneur seraient mis sur pied. Dès lors, la clique du XIVe dalaï-lama a lancé une propagande d'envergure : "L'immolation ne va pas à l'encontre du bouddhisme" ; "L'immolation est un acte de sacrifice religieux, un acte de bodhisattva". Elle a dupé les croyants des régions tibétaines, et notamment de jeunes naïfs, les conduisant sur le chemin de la mort, donnant ainsi une explication à la soudaine multiplication du nombre d'immolations.
Les organes de la sécurité publique ont levé le voile sur une série de cas d'immolation, prouvant qu'ils étaient le fruit de la manipulation de la clique du XIVe dalaï-lama. Le monastère de Kirti, situé dans le département autonome tibétain et qiang d'Aba, province du Sichuan, est le lieu enregistrant le plus de cas d'immolation, et il a été prouvé qu'ils étaient étroitement liés à la manipulation de la clique du XIVe dalaï-lama. Cette dernière a organisé les immolations par les quatre voies suivantes : premièrement, comploter à distance des immolations à travers les monastères de Kirti et la cellule de liaison du monastère de Kirti en Inde ; deuxièmement, introduire des membres du CJT en traversant illégalement la frontière pour inciter et organiser des immolations ; troisièmement, encourager les gens à s'immoler par l'incitation des rapatriés ; quatrièmement, inciter l'immolation par le recours à l'internet et au tapage médiatique partisan de "l'indépendance du Tibet".