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Portrait : Xi Jinping et son ère

                 French.xinhuanet.com | Publié le 2017-11-17 à 05:43

LE NOYAU DIRIGEANT DU PCC FORGÉ PENDANT UNE "GRANDE LUTTE"

Quand M. Xi a pris ses fonctions il y a cinq ans, sa priorité était d'assurer une obéissance totale du Parti au Comité central du PCC tout en défendant son autorité et sa direction centralisée et unifiée. Le Parti devait faire face au relâchement moral, à l'incompétence, à la coupure d'avec les masses, à l'inaction et à la corruption. Parmi ces défaillances, la corruption constituait le plus grand défi. Selon M. Xi, si la corruption s'était accrue, elle aurait pu causer l'effondrement du Parti et la chute de l'État. La réalisation des objectifs dans la nouvelle ère aurait été impossible.

La campagne a été sans précédent au cours des 96 années d'histoire du PCC, et reste aussi profonde et implacable que toutes les campagnes de ce type dans le monde. L'un des premiers "tigres" (hauts responsables corrompus) a été Li Chuncheng, ancien secrétaire adjoint du Comité du PCC pour la province du Sichuan. Il occupait le poste de membre suppléant du 18e Comité central du PCC depuis moins d'un mois lorsqu'il a fait l'objet d'une enquête en décembre 2012. Dès lors, des enquêtes sur des responsables administrés par les autorités centrales ont eu lieu tous les mois. En uniquement un mois, sept "tigres" sont tombés dans les filets des enquêteurs.

Même le public a témoigné tout son soutien à la campagne, alors que l'enquête sur Zhou Yongkang, ancien membre du Comité permanent du Bureau politique du Comité central du PCC, a choqué beaucoup de personnes. Auparavant, les Chinois ne pensaient pas que les enquêtes pouvaient concerner des responsables d'un tel niveau. La communauté internationale n'attendait pas de M. Xi, encore nouveau dans ses fonctions, d'avoir la capacité et la résolution de capturer un "tigre" aussi grand.

Au cours des cinq dernières années, un grand nombre de responsables avec un "chapeau de fer", ceux qui sont puissants et difficiles à "révoquer", ont quitté leurs fonctions pour cause de corruption. A part Zhou Yongkang, on compte Bo Xilai, Guo Boxiong, Xu Caihou, Sun Zhengcai et Ling Jihua. Un total de 43 membres et membres suppléants du 18e Comité central du PCC et neuf membres de la Commission centrale de contrôle de la discipline (CCCD) ont fait l'objet d'enquêtes.

Dissipant tous les doutes, M. Xi a déclaré que "si nous n'avions pas offensé des centaines de responsables corrompus, nous aurions offensé 1,3 milliard de Chinois". A ceux qui s'inquiétaient de voir la corruption ralentir le développement économique, M. Xi a indiqué : "Aussi loin que je vois, le ciel ne tombera pas".

La gouvernance de M. Xi n'est pas tendre, et il s'agit même d'une voie de "lutte". Le mot "lutte" est apparu 23 fois dans son rapport au 19e Congrès national du PCC.

En 2015, la campagne anti-corruption se trouvait "dans l'impasse". En 2016, le PCC "a gagné du terrain pour surmonter la corruption". Aujourd'hui, le PCC "a gagné et consolidé cet élan écrasant". Les fugitifs à l'étranger sont poursuivis et arrêtés, alors que des milliers de responsables dans le pays ont avoué leurs fautes aux autorités disciplinaires.

Certains ont proposé de faire une pause alors que des progrès ont été réalisés, mais M. Xi a souligné que le Parti ne devait rien changer à ce qui fonctionne face à une récolte précoce. Au contraire, le Parti doit poursuivre la lutte pour remporter une "victoire écrasante" face à la corruption. Un dessin animé populaire sur Internet montre que M. Xi monte sur un tigre et le frappe de ses poings.

Selon le Bureau d'État des statistiques, environ 75% des Chinois étaient satisfaits des efforts anti-corruption en 2012, et le chiffre a bondi à 92,9% en 2016.

M. Xi ne comptait pas seulement sur la lutte contre les "tigres" et les "mouches", les responsables corrompus de bas niveau, pour établir son autorité.

Début 2013, M. Xi a lu un article "Des internautes appellent à arrêter le gaspillage alimentaire" publié par l'Agence de presse Xinhua, et a donné une instruction pour que "le gaspillage cesse". Il a souligné qu'il fallait éradiquer le gaspillage de fonds publics. Après cinq ans d'efforts, le PCC a rectifié la tendance malsaine, ce qui était considéré comme une mission impossible dans le passé.

"Le public estimait que les fonds publics utilisés pour des activités récréatives comme dîner et boire pouvaient atteindre 200 milliards de yuans par an, mais personne ne savait comment contrôler cela. Avec le code de frugalité en huit points, le problème a été résolu", a indiqué Yang Xiaodu, secrétaire adjoint de la CCCD.

Le règlement formule des exigences explicites pour améliorer le travail des hauts responsables selon huit aspects, en se concentrant sur le rejet de l'extravagance et la réduction des visites, des rencontres bureaucratiques et des discours creux.

"Le code de frugalité en huit points a changé la Chine", a déclaré M. Yang.

"Le peuple nous a donné le pouvoir, nous devons être dévoués au Parti et au pays, et servir honorablement le Parti et le pays. Nous devons accomplir notre devoir. Si notre travail exige de vexer des personnes, nous devons le faire malgré tout", a déclaré M. Xi.

M. Xi pensait ce qu'il disait. Le Parti a organisé une campagne d'éducation et de mise en pratique de la ligne de masse du Parti et l'opération éducative sur le style de travail dit "trois consignes de rigueur et trois règles d'honnêteté". Tous les membres du Parti sont aussi appelés à avoir une compréhension solide des statuts et règlements du Parti et des principaux discours politiques, tout en répondant aux normes de conduite du Parti.

Le PCC a également lancé une campagne sur le thème "Rester fidèles à notre engagement initial et garder constamment à l'esprit notre mission" pour permettre aux membres du Parti de s'armer avec les nouvelles théories du Parti et d'être plus déterminés à travailler sans relâche pour accomplir la mission historique du Parti. A travers de telles campagnes, le Parti transmet et élargit le développement du communisme d'un petit groupe de principaux responsables à tous les membres du Parti.

Le Parti a révisé ses règlements sur les sanctions disciplinaires et le code sur l'honnêteté et l'autodiscipline. Ceux qui s'agrippent à la bureaucratie perdent de plus en plus leur pouvoir et leur influence. Pendant les cinq dernières années, plus de 5.000 "responsables nus", ceux dont l'épouse et les enfants ont immigré à l'étranger, ont été démis de leurs fonctions. Plus de 22.000 responsables de niveau du district ou supérieur ont vu leurs postes réorganisés sur la base de leur performance.

Le statut de M. Xi comme "noyau dirigeant" du Comité central du PCC et de tout le Parti a été approuvé lors de la sixième session plénière du 18e Comité central du PCC. Il est largement admis que les difficultés sont inévitables quand un parti aussi grand que le PCC gouverne un si grand pays comme la Chine. Sans la direction d'un noyau fort, il est difficile de maintenir l'unité de la pensée et la solidarité du Parti à travers la nation entière. Une direction faible rendra les réalisations impossibles, sans parler de la victoire dans "la grande lutte aux nombreuses caractéristiques contemporaines".

L'esprit invincible de M. Xi provient de sa foi dans le marxisme. L'un de ses collègues a écrit dans un article que les discours de M. Xi avaient démontré "une croyance ferme dans le communisme et le socialisme".

Lors de sa visite de l'exposition "La route vers le renouveau" organisée au Musée national le 29 novembre 2012, M. Xi a raconté une histoire sur Chen Wangdao. Chen Wangdao était si concentré sur la traduction du Manifeste du Parti communiste qu'il ne s'est pas aperçu avoir mangé de l'encre au lieu du sucre brun. M. Xi a cité les mots de M. Chen : "Le goût de la vérité est si doux".

M. Xi a également tiré la force de ses parents, Xi Zhongxun et Qi Xin, qui ont tous deux participé à la révolution quand ils étaient jeunes.

Dans une lettre à son père, Xi Jinping a écrit que même lorsque Xi Zhongxun était piégé dans l'adversité, ce dernier "détenait toujours une foi inébranlable dans le communisme et croyait dans la grandeur, l'exactitude et la gloire du Parti". "Vos mots et vos actions ont indiqué la bonne direction pour nous permettre d'aller de l'avant".

M. Xi a rappelé que quand il avait cinq ou six ans, il est sorti avec sa mère pour acheter des bandes dessinées comme la biographie de Yue Fei, un commandant militaire patriotique de la dynastie Song du Sud (1127-1279). Une histoire racontait que la mère de Yue Fei avait tatoué quatre caractères sur son dos pour lui rappeler de se consacrer au pays.

"Jing Zhong Bao Guo (servir le pays avec une loyauté totale). Je me suis toujours souvenu de ces quatre caractères. C'est la poursuite de toute ma vie", a indiqué M. Xi.

Dans son enfance, il a demandé à rejoindre la Ligue de la jeunesse communiste à huit reprises et dix fois pour adhérer au PCC. Il est devenu membre du PCC à l'âge de vingt ans.

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LE NOYAU DIRIGEANT DU PCC FORGÉ PENDANT UNE "GRANDE LUTTE"

Quand M. Xi a pris ses fonctions il y a cinq ans, sa priorité était d'assurer une obéissance totale du Parti au Comité central du PCC tout en défendant son autorité et sa direction centralisée et unifiée. Le Parti devait faire face au relâchement moral, à l'incompétence, à la coupure d'avec les masses, à l'inaction et à la corruption. Parmi ces défaillances, la corruption constituait le plus grand défi. Selon M. Xi, si la corruption s'était accrue, elle aurait pu causer l'effondrement du Parti et la chute de l'État. La réalisation des objectifs dans la nouvelle ère aurait été impossible.

La campagne a été sans précédent au cours des 96 années d'histoire du PCC, et reste aussi profonde et implacable que toutes les campagnes de ce type dans le monde. L'un des premiers "tigres" (hauts responsables corrompus) a été Li Chuncheng, ancien secrétaire adjoint du Comité du PCC pour la province du Sichuan. Il occupait le poste de membre suppléant du 18e Comité central du PCC depuis moins d'un mois lorsqu'il a fait l'objet d'une enquête en décembre 2012. Dès lors, des enquêtes sur des responsables administrés par les autorités centrales ont eu lieu tous les mois. En uniquement un mois, sept "tigres" sont tombés dans les filets des enquêteurs.

Même le public a témoigné tout son soutien à la campagne, alors que l'enquête sur Zhou Yongkang, ancien membre du Comité permanent du Bureau politique du Comité central du PCC, a choqué beaucoup de personnes. Auparavant, les Chinois ne pensaient pas que les enquêtes pouvaient concerner des responsables d'un tel niveau. La communauté internationale n'attendait pas de M. Xi, encore nouveau dans ses fonctions, d'avoir la capacité et la résolution de capturer un "tigre" aussi grand.

Au cours des cinq dernières années, un grand nombre de responsables avec un "chapeau de fer", ceux qui sont puissants et difficiles à "révoquer", ont quitté leurs fonctions pour cause de corruption. A part Zhou Yongkang, on compte Bo Xilai, Guo Boxiong, Xu Caihou, Sun Zhengcai et Ling Jihua. Un total de 43 membres et membres suppléants du 18e Comité central du PCC et neuf membres de la Commission centrale de contrôle de la discipline (CCCD) ont fait l'objet d'enquêtes.

Dissipant tous les doutes, M. Xi a déclaré que "si nous n'avions pas offensé des centaines de responsables corrompus, nous aurions offensé 1,3 milliard de Chinois". A ceux qui s'inquiétaient de voir la corruption ralentir le développement économique, M. Xi a indiqué : "Aussi loin que je vois, le ciel ne tombera pas".

La gouvernance de M. Xi n'est pas tendre, et il s'agit même d'une voie de "lutte". Le mot "lutte" est apparu 23 fois dans son rapport au 19e Congrès national du PCC.

En 2015, la campagne anti-corruption se trouvait "dans l'impasse". En 2016, le PCC "a gagné du terrain pour surmonter la corruption". Aujourd'hui, le PCC "a gagné et consolidé cet élan écrasant". Les fugitifs à l'étranger sont poursuivis et arrêtés, alors que des milliers de responsables dans le pays ont avoué leurs fautes aux autorités disciplinaires.

Certains ont proposé de faire une pause alors que des progrès ont été réalisés, mais M. Xi a souligné que le Parti ne devait rien changer à ce qui fonctionne face à une récolte précoce. Au contraire, le Parti doit poursuivre la lutte pour remporter une "victoire écrasante" face à la corruption. Un dessin animé populaire sur Internet montre que M. Xi monte sur un tigre et le frappe de ses poings.

Selon le Bureau d'État des statistiques, environ 75% des Chinois étaient satisfaits des efforts anti-corruption en 2012, et le chiffre a bondi à 92,9% en 2016.

M. Xi ne comptait pas seulement sur la lutte contre les "tigres" et les "mouches", les responsables corrompus de bas niveau, pour établir son autorité.

Début 2013, M. Xi a lu un article "Des internautes appellent à arrêter le gaspillage alimentaire" publié par l'Agence de presse Xinhua, et a donné une instruction pour que "le gaspillage cesse". Il a souligné qu'il fallait éradiquer le gaspillage de fonds publics. Après cinq ans d'efforts, le PCC a rectifié la tendance malsaine, ce qui était considéré comme une mission impossible dans le passé.

"Le public estimait que les fonds publics utilisés pour des activités récréatives comme dîner et boire pouvaient atteindre 200 milliards de yuans par an, mais personne ne savait comment contrôler cela. Avec le code de frugalité en huit points, le problème a été résolu", a indiqué Yang Xiaodu, secrétaire adjoint de la CCCD.

Le règlement formule des exigences explicites pour améliorer le travail des hauts responsables selon huit aspects, en se concentrant sur le rejet de l'extravagance et la réduction des visites, des rencontres bureaucratiques et des discours creux.

"Le code de frugalité en huit points a changé la Chine", a déclaré M. Yang.

"Le peuple nous a donné le pouvoir, nous devons être dévoués au Parti et au pays, et servir honorablement le Parti et le pays. Nous devons accomplir notre devoir. Si notre travail exige de vexer des personnes, nous devons le faire malgré tout", a déclaré M. Xi.

M. Xi pensait ce qu'il disait. Le Parti a organisé une campagne d'éducation et de mise en pratique de la ligne de masse du Parti et l'opération éducative sur le style de travail dit "trois consignes de rigueur et trois règles d'honnêteté". Tous les membres du Parti sont aussi appelés à avoir une compréhension solide des statuts et règlements du Parti et des principaux discours politiques, tout en répondant aux normes de conduite du Parti.

Le PCC a également lancé une campagne sur le thème "Rester fidèles à notre engagement initial et garder constamment à l'esprit notre mission" pour permettre aux membres du Parti de s'armer avec les nouvelles théories du Parti et d'être plus déterminés à travailler sans relâche pour accomplir la mission historique du Parti. A travers de telles campagnes, le Parti transmet et élargit le développement du communisme d'un petit groupe de principaux responsables à tous les membres du Parti.

Le Parti a révisé ses règlements sur les sanctions disciplinaires et le code sur l'honnêteté et l'autodiscipline. Ceux qui s'agrippent à la bureaucratie perdent de plus en plus leur pouvoir et leur influence. Pendant les cinq dernières années, plus de 5.000 "responsables nus", ceux dont l'épouse et les enfants ont immigré à l'étranger, ont été démis de leurs fonctions. Plus de 22.000 responsables de niveau du district ou supérieur ont vu leurs postes réorganisés sur la base de leur performance.

Le statut de M. Xi comme "noyau dirigeant" du Comité central du PCC et de tout le Parti a été approuvé lors de la sixième session plénière du 18e Comité central du PCC. Il est largement admis que les difficultés sont inévitables quand un parti aussi grand que le PCC gouverne un si grand pays comme la Chine. Sans la direction d'un noyau fort, il est difficile de maintenir l'unité de la pensée et la solidarité du Parti à travers la nation entière. Une direction faible rendra les réalisations impossibles, sans parler de la victoire dans "la grande lutte aux nombreuses caractéristiques contemporaines".

L'esprit invincible de M. Xi provient de sa foi dans le marxisme. L'un de ses collègues a écrit dans un article que les discours de M. Xi avaient démontré "une croyance ferme dans le communisme et le socialisme".

Lors de sa visite de l'exposition "La route vers le renouveau" organisée au Musée national le 29 novembre 2012, M. Xi a raconté une histoire sur Chen Wangdao. Chen Wangdao était si concentré sur la traduction du Manifeste du Parti communiste qu'il ne s'est pas aperçu avoir mangé de l'encre au lieu du sucre brun. M. Xi a cité les mots de M. Chen : "Le goût de la vérité est si doux".

M. Xi a également tiré la force de ses parents, Xi Zhongxun et Qi Xin, qui ont tous deux participé à la révolution quand ils étaient jeunes.

Dans une lettre à son père, Xi Jinping a écrit que même lorsque Xi Zhongxun était piégé dans l'adversité, ce dernier "détenait toujours une foi inébranlable dans le communisme et croyait dans la grandeur, l'exactitude et la gloire du Parti". "Vos mots et vos actions ont indiqué la bonne direction pour nous permettre d'aller de l'avant".

M. Xi a rappelé que quand il avait cinq ou six ans, il est sorti avec sa mère pour acheter des bandes dessinées comme la biographie de Yue Fei, un commandant militaire patriotique de la dynastie Song du Sud (1127-1279). Une histoire racontait que la mère de Yue Fei avait tatoué quatre caractères sur son dos pour lui rappeler de se consacrer au pays.

"Jing Zhong Bao Guo (servir le pays avec une loyauté totale). Je me suis toujours souvenu de ces quatre caractères. C'est la poursuite de toute ma vie", a indiqué M. Xi.

Dans son enfance, il a demandé à rejoindre la Ligue de la jeunesse communiste à huit reprises et dix fois pour adhérer au PCC. Il est devenu membre du PCC à l'âge de vingt ans.

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