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Algérie : coup d'envoi des épreuves du baccalauréat 2018

French.xinhuanet.com   2018-06-20 19:00:11      

ALGER, 20 juin (Xinhua) -- La ministre algérienne de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a donné mercredi matin le coup d'envoi des épreuves du baccalauréat 2018 depuis le Collège d'enseignement moyen Abdelhamid Benbadis à Tébessa (580km à l'est d'Alger).

Au total, 709.448 candidats, dont 40% de candidats libres, sont concernés par les épreuves, qui dureront jusqu'à lundi prochain pour certaines filières, le vendredi étant un jour de repos.

Quant à l'annonce des résultats, elle interviendra un mois après la fin des épreuves. Pour cette édition, des mesures radicales ont été prises pour sécuriser les opérations et prévenir d'éventuelles tentatives de fraude massive.

Pour ce faire, le gouvernement a décidé de suspendre Internet à travers tout le pays pendant la première heure de chaque épreuve du bac. Ces mesures sont motivées par le fait que l'épreuve a été entachée par le passé par une triche sans précédent.

En 2016, le gouvernement a été contraint d'organiser une deuxième session après la fuite de sujets sur les réseaux sociaux, notamment dans la filière des sciences expérimentales, nécessitant une réorganisation partielle des examens.

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Algérie : coup d'envoi des épreuves du baccalauréat 2018

Publié le 2018-06-20 à 19:00 | french.xinhuanet.com

ALGER, 20 juin (Xinhua) -- La ministre algérienne de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a donné mercredi matin le coup d'envoi des épreuves du baccalauréat 2018 depuis le Collège d'enseignement moyen Abdelhamid Benbadis à Tébessa (580km à l'est d'Alger).

Au total, 709.448 candidats, dont 40% de candidats libres, sont concernés par les épreuves, qui dureront jusqu'à lundi prochain pour certaines filières, le vendredi étant un jour de repos.

Quant à l'annonce des résultats, elle interviendra un mois après la fin des épreuves. Pour cette édition, des mesures radicales ont été prises pour sécuriser les opérations et prévenir d'éventuelles tentatives de fraude massive.

Pour ce faire, le gouvernement a décidé de suspendre Internet à travers tout le pays pendant la première heure de chaque épreuve du bac. Ces mesures sont motivées par le fait que l'épreuve a été entachée par le passé par une triche sans précédent.

En 2016, le gouvernement a été contraint d'organiser une deuxième session après la fuite de sujets sur les réseaux sociaux, notamment dans la filière des sciences expérimentales, nécessitant une réorganisation partielle des examens.

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