Une étude suggère que 40% de cerfs sauvages du nord-est des Etats-Unis ont été exposés au nouveau coronavirus (média)

French.xinhuanet.com | Publié le 2021-08-06 à 14:33

CANBERRA, 6 août (Xinhua) -- Une récente étude a fait état de la présence d'anticorps neutralisants contre le virus SRAS-CoV-2, responsable de la COVID-19, dans 40% des cerfs de Virginie qui ont été testés dans la pointe nord-est des Etats-Unis, a rapporté mercredi le site australien d'information scientifique ScienceAlert.

D'après cette étude pré-publiée postée sur bioRxiv, en hébergeant et en propageant silencieusement ce pathogène, les cerfs, redoutent les scientifiques, pourraient permettre au virus de s'adapter et d'évoluer en nouvelles souches, lesquelles pourraient éventuellement réinfecter les humains des années plus tard avec une transmissibilité et une gravité encore plus importantes qu'auparavant.

Les cerfs de Virginie, très communs en Amérique du Nord, croisent beaucoup les humains, que ce soit à travers les travaux scientifiques sur le terrain, le travail de protection, l'alimentation, la chasse ou les eaux usées humaines, fournissant un canal parfait pour la propagation d'un virus, selon l'étude.

Ces animaux "sont particulièrement abondants près des centres de population urbaines situés dans l'est des Etats-Unis, ont noté les auteurs. Fin

 
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Une étude suggère que 40% de cerfs sauvages du nord-est des Etats-Unis ont été exposés au nouveau coronavirus (média)

French.xinhuanet.com | Publié le 2021-08-06 à 14:33

CANBERRA, 6 août (Xinhua) -- Une récente étude a fait état de la présence d'anticorps neutralisants contre le virus SRAS-CoV-2, responsable de la COVID-19, dans 40% des cerfs de Virginie qui ont été testés dans la pointe nord-est des Etats-Unis, a rapporté mercredi le site australien d'information scientifique ScienceAlert.

D'après cette étude pré-publiée postée sur bioRxiv, en hébergeant et en propageant silencieusement ce pathogène, les cerfs, redoutent les scientifiques, pourraient permettre au virus de s'adapter et d'évoluer en nouvelles souches, lesquelles pourraient éventuellement réinfecter les humains des années plus tard avec une transmissibilité et une gravité encore plus importantes qu'auparavant.

Les cerfs de Virginie, très communs en Amérique du Nord, croisent beaucoup les humains, que ce soit à travers les travaux scientifiques sur le terrain, le travail de protection, l'alimentation, la chasse ou les eaux usées humaines, fournissant un canal parfait pour la propagation d'un virus, selon l'étude.

Ces animaux "sont particulièrement abondants près des centres de population urbaines situés dans l'est des Etats-Unis, ont noté les auteurs. Fin

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