(COVID-19) Les médias occidentaux diffusent des complots sur le virus pour cibler la Chine, selon un universitaire

French.xinhuanet.com | Publié le 2021-07-28 à 19:22

BEIJING, 28 juillet (Xinhua) -- Les médias occidentaux propagent des complots concernant le nouveau coronavirus qui sont centrés sur la Chine, déplore l'universitaire Keith Lamb, spécialiste des relations internationales de la Chine.

"Cette différence flagrante entre la réalité et ce que montrent les reportages m'a toujours rendu sceptique à l'égard des reportages occidentaux sur la COVID-19, alimentés par divers acteurs politiques qui ont tenté de façon dogmatique de rejeter la responsabilité de la COVID-19 sur la Chine", écrit-il dans une tribune publiée lundi sur le site de la chaîne chinoise CGTN.

M. Lamb dit avoir ressenti à travers ses expériences personnelles en Chine au début de l'épidémie "une unité d'action, une organisation rapide et une bonne volonté globale" dans ce pays, contrastant fortement avec la rhétorique occidentale diffamant la Chine.

En outre, la science a également prouvé que ces reportages occidentaux se hâtant de lier l'origine du nouveau coronavirus à la Chine n'étaient que des diffamations, selon lui, citant en exemple une étude du laboratoire VisMederi de l'Université de Sienne en partenariat avec l'Institut national du cancer de Milan.

Cette étude publiée en novembre 2020 a montré que 11,6% des 959 volontaires sains en Italie ayant participé à un test de dépistage du cancer du poumon entre septembre 2019 et mars 2020 avaient développé des anticorps contre le nouveau coronavirus bien avant février 2020, date à laquelle le premier cas officiel a été enregistré en Italie, avec quatre cas remontant à la première semaine d'octobre 2019, ce qui signifie que ces personnes avaient été infectées en septembre 2019.

Pour Keith Lamb, le virus aurait pu circuler en Italie des semaines avant qu'il ne soit formellement identifié en Chine.

Un nouveau test des échantillons de sang de l'étude, dont les résultats ont été détaillés dans un article publié le 14 juillet, a également révélé que le plus ancien échantillon contenant des anticorps IgM liés au coronavirus datait du 3 septembre 2019 et qu'il venait de Vénétie, dans le nord-est de l'Italie.

Or, relève-t-il, ce n'est que maintenant que les médias occidentaux commencent à rendre publique cette étude.

"Pourquoi cette information ne sort-elle que maintenant dans la presse occidentale? Ce n'est pas parce qu'elle vient juste d'être publiée", dit-il. "La vérité est que cette information ne correspondait pas au récit anti-Chine diffusé par les médias institutionnels et aux intérêts de l'Etat profond, lesquels refusent désespérément de présenter la Chine sous un jour positif". Fin

 
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(COVID-19) Les médias occidentaux diffusent des complots sur le virus pour cibler la Chine, selon un universitaire

French.xinhuanet.com | Publié le 2021-07-28 à 19:22

BEIJING, 28 juillet (Xinhua) -- Les médias occidentaux propagent des complots concernant le nouveau coronavirus qui sont centrés sur la Chine, déplore l'universitaire Keith Lamb, spécialiste des relations internationales de la Chine.

"Cette différence flagrante entre la réalité et ce que montrent les reportages m'a toujours rendu sceptique à l'égard des reportages occidentaux sur la COVID-19, alimentés par divers acteurs politiques qui ont tenté de façon dogmatique de rejeter la responsabilité de la COVID-19 sur la Chine", écrit-il dans une tribune publiée lundi sur le site de la chaîne chinoise CGTN.

M. Lamb dit avoir ressenti à travers ses expériences personnelles en Chine au début de l'épidémie "une unité d'action, une organisation rapide et une bonne volonté globale" dans ce pays, contrastant fortement avec la rhétorique occidentale diffamant la Chine.

En outre, la science a également prouvé que ces reportages occidentaux se hâtant de lier l'origine du nouveau coronavirus à la Chine n'étaient que des diffamations, selon lui, citant en exemple une étude du laboratoire VisMederi de l'Université de Sienne en partenariat avec l'Institut national du cancer de Milan.

Cette étude publiée en novembre 2020 a montré que 11,6% des 959 volontaires sains en Italie ayant participé à un test de dépistage du cancer du poumon entre septembre 2019 et mars 2020 avaient développé des anticorps contre le nouveau coronavirus bien avant février 2020, date à laquelle le premier cas officiel a été enregistré en Italie, avec quatre cas remontant à la première semaine d'octobre 2019, ce qui signifie que ces personnes avaient été infectées en septembre 2019.

Pour Keith Lamb, le virus aurait pu circuler en Italie des semaines avant qu'il ne soit formellement identifié en Chine.

Un nouveau test des échantillons de sang de l'étude, dont les résultats ont été détaillés dans un article publié le 14 juillet, a également révélé que le plus ancien échantillon contenant des anticorps IgM liés au coronavirus datait du 3 septembre 2019 et qu'il venait de Vénétie, dans le nord-est de l'Italie.

Or, relève-t-il, ce n'est que maintenant que les médias occidentaux commencent à rendre publique cette étude.

"Pourquoi cette information ne sort-elle que maintenant dans la presse occidentale? Ce n'est pas parce qu'elle vient juste d'être publiée", dit-il. "La vérité est que cette information ne correspondait pas au récit anti-Chine diffusé par les médias institutionnels et aux intérêts de l'Etat profond, lesquels refusent désespérément de présenter la Chine sous un jour positif". Fin

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