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French.xinhuanet.com | Publié le 2021-07-16 à 10:26
BEIJING, 16 juillet (Xinhua) -- Des habitants de la région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, ont démenti jeudi les mensonges des politiciens de certains pays occidentaux sur les violations des droits de l'homme dans la région par leurs expériences personnelles.
Lors d'une conférence de presse organisée à Beijing par le gouvernement régional du Xinjiang, plusieurs habitants du Xinjiang ont partagé leurs propres histoires par liaison vidéo.
Alimjan Apsamat, diplômé d'un centre d'enseignement et de formation professionnels, est aujourd'hui guide au musée du district de Zepu, dans la préfecture de Kachgar. Il était profondément influencé par les pensées de l'extrémisme religieux jusqu'à ce que sa famille le persuade de prendre l'initiative d'étudier dans le centre.
Il a noté que le centre offrait un hébergement et une pension gratuits, ainsi que des cours sur les lois et règlements, des compétences professionnelles et des contenus de déradicalisation. La liberté de croyance religieuse des stagiaires était pleinement respectée et protégée.
"Grâce à l'éducation dispensée au centre, j'ai appris à comprendre ce qui est bien et ce qui est mal, et je suis progressivement devenu plus gai et plus énergique", a expliqué Alimjan Apsamat, se disant reconnaissant envers le centre pour l'avoir aidé à rejeter les pensées d'extrémisme religieux et à devenir une personne utile pour la société.
Mamat Mamatmin, imam d'une mosquée de la rue Chinebagh dans le district de Moyu de la préfecture de Hotan, a indiqué que la "restriction de la liberté religieuse" était une calomnie et une diffamation complètes à l'encontre du Xinjiang,
"Pour autant que je sache, ces soi-disant 'personnalités religieuses détenues par le gouvernement' sont en réalité des criminels qui prêchent l'extrémisme religieux et se livrent à des activités terroristes séparatistes, destructrices et violentes sous la bannière de l'islam", a-t-il déclaré.
Ces actes extrêmes ont causé de grands désastres pour les personnes de tous les groupes ethniques au Xinjiang, dont les musulmans, et ont grandement nui à l'image de l'islam au Xinjiang, a ajouté Mamat Mamatmin.
Salaman Alim est le parent d'un élève inscrit dans un pensionnat local du district de Xinhe, dans la préfecture d'Aksu. Pour elle, envoyer son enfant dans un internat est un choix volontaire pour sa famille.
"Mon mari et moi sommes vraiment heureux de voir que notre enfant est bien nourri, bien logé et bien éduqué à l'école. Lorsque notre cadette entrera au collège, nous prévoyons également de l'envoyer dans un internat."
En réponse à une récente réunion de responsables américains avec certains habitants du Xinjiang à l'étranger, Elijan Anayat, porte-parole du gouvernement régional du Xinjiang, a déclaré que ces soi-disant "témoins" étaient en réalité des "acteurs" gagnant leur vie en répandant des rumeurs sur le Xinjiang.
Il est tout à fait ironique que les responsables américains, ignorant les faits fondamentaux, aient rencontré ces soi-disant "victimes" et aient fait des remarques irresponsables sur la situation des droits de l'homme au Xinjiang, a-t-il ajouté.
"Nous demandons instamment à certaines personnes dans les pays occidentaux de revenir à la raison, aux faits et à la morale, d'enlever leurs lunettes colorées, d'abandonner leurs préjugés étroits et de regarder en face les réalisations remarquables du Xinjiang en matière de droits de l'homme", a déclaré Xu Guixiang, également porte-parole du gouvernement régional, lors de la conférence de presse. Fin