Un rapport réfute les "camps de concentration" fabriqués par Adrian Zenz

French.xinhuanet.com | Publié le 2021-04-30 à 20:04

BEIJING, 30 avril (Xinhua) -- L'accusation du soi-disant intellectuel allemand Adrian Zenz selon laquelle un million de Ouïgours ont été détenus dans des camps de concentration au Xinjiang n'a aucune base factuelle, selon un rapport publié vendredi par le Centre de recherche sur le développement du Xinjiang.

D'après le rapport, intitulé "Les erreurs concernant le Xinjiang du calomniateur Adrian Zenz contre la vérité", The Grayzone, un site indépendant d'information, a déclaré dans un article publié en décembre 2019 que l'affirmation de la détention d'un million de Ouïgours dans des camps de concentration avait d'abord été proposée puis propagée par le site des Défenseurs des droits de l'homme chinois, une organisation non gouvernementale basée à Washington, soutenue par le gouvernement des Etats-Unis, et cette organisation était arrivée à sa conclusion en interviewant seulement huit Ouïgours et par une estimation approximative.

Adrian Zenz a fait l'estimation d'un million de Ouïgours détenus dans des camps de concentration au Xinjiang sur la base de sa propre conjecture et d'un rapport médiatique discutable, indique le rapport en citant The Grayzone. Adrian Zenz a lui-même reconnu l'incertitude de son affirmation, selon The Grayzone.

En fait, souligne le rapport, les centres d'enseignement et de formation professionnels au Xinjiang sont essentiellement identiques au Programme de désistement et de désengagement établi au Royaume-Uni et au centre de déradicalisation en France et sont pleinement conformes au principe et à l'esprit de la stratégie mondiale de lutte contre le terrorisme des Nations unies et du Plan d'action des Nations unies pour prévenir l'extrémisme violent.

En octobre 2019, tous les stagiaires des centres d'enseignement et de formation professionnels avaient terminé leurs études et bénéficiaient d'un emploi stable et d'une meilleure qualité de vie, ajoute le rapport. Fin

 
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Un rapport réfute les "camps de concentration" fabriqués par Adrian Zenz

French.xinhuanet.com | Publié le 2021-04-30 à 20:04

BEIJING, 30 avril (Xinhua) -- L'accusation du soi-disant intellectuel allemand Adrian Zenz selon laquelle un million de Ouïgours ont été détenus dans des camps de concentration au Xinjiang n'a aucune base factuelle, selon un rapport publié vendredi par le Centre de recherche sur le développement du Xinjiang.

D'après le rapport, intitulé "Les erreurs concernant le Xinjiang du calomniateur Adrian Zenz contre la vérité", The Grayzone, un site indépendant d'information, a déclaré dans un article publié en décembre 2019 que l'affirmation de la détention d'un million de Ouïgours dans des camps de concentration avait d'abord été proposée puis propagée par le site des Défenseurs des droits de l'homme chinois, une organisation non gouvernementale basée à Washington, soutenue par le gouvernement des Etats-Unis, et cette organisation était arrivée à sa conclusion en interviewant seulement huit Ouïgours et par une estimation approximative.

Adrian Zenz a fait l'estimation d'un million de Ouïgours détenus dans des camps de concentration au Xinjiang sur la base de sa propre conjecture et d'un rapport médiatique discutable, indique le rapport en citant The Grayzone. Adrian Zenz a lui-même reconnu l'incertitude de son affirmation, selon The Grayzone.

En fait, souligne le rapport, les centres d'enseignement et de formation professionnels au Xinjiang sont essentiellement identiques au Programme de désistement et de désengagement établi au Royaume-Uni et au centre de déradicalisation en France et sont pleinement conformes au principe et à l'esprit de la stratégie mondiale de lutte contre le terrorisme des Nations unies et du Plan d'action des Nations unies pour prévenir l'extrémisme violent.

En octobre 2019, tous les stagiaires des centres d'enseignement et de formation professionnels avaient terminé leurs études et bénéficiaient d'un emploi stable et d'une meilleure qualité de vie, ajoute le rapport. Fin

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