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Les intentions sinistres derrière le boycott du coton du Xinjiang (Commentaire)

 
French.xinhuanet.com | Publié le 2021-03-26 à 22:24

BEIJING, 26 mars (Xinhua) -- Les récentes déclarations d'entreprises comme H&M et Nike qui refusent d'utiliser le coton du Xinjiang ont déclenché une dénonciation et une résistance généralisées de la part du public chinois.

Derrière le boycott du coton du Xinjiang se cachent les sinistres intentions des forces anti-chinoises de certains pays occidentaux, dont les États-Unis, qui cherchent à salir la Chine et à réprimer l'industrie chinoise. Le gouvernement et le peuple chinois s'y opposent fermement.

La production de coton au Xinjiang est depuis longtemps hautement mécanisée et ne nécessite pas un grand nombre de cueilleurs de coton.

L'accusation de "travail forcé" dans l'industrie du coton du Xinjiang est un mensonge total.

L'intention ultime de l'utilisation d'expressions telles que "travail forcé", "camps de concentration" et "génocide" est de miner la sécurité et la stabilité du Xinjiang et d'étouffer le développement de la Chine.

Lawrence Wilkerson, l'ancien bras droit de l'ex-secrétaire d'État américain Colin Powell, a déclaré un jour que si la CIA voulait déstabiliser la Chine, la meilleure façon de le faire était de provoquer des troubles sociaux et de bousculer la Chine de l'intérieur.

L'attention portée au coton du Xinjiang a également des motivations économiques. Les étranges accusations de "travail forcé" et de "violations des droits de l'homme" ne sont que des allégations utilisées pour réprimer l'industrie textile chinoise.

La Chine est le deuxième plus grand producteur de coton au monde, et le Xinjiang est la plus importante région productrice de coton, représentant près de 90% de la production de coton du pays.

L'augmentation constante de la production de coton en Chine et la croissance de l'industrie textile rendent nerveux certains aux États-Unis et en Occident.

En tant que premier exportateur mondial de coton, les États-Unis ont hypertrophié la question du Xinjiang dès février dernier, sous l'administration Trump, et ont décrété une interdiction des produits en coton en provenance du Xinjiang. Sous le prétexte de protéger les droits de l'homme, les États-Unis tentent de soutenir leur production domestique.

"D'innombrables mensonges sont diffusés par des personnes qui ne sont jamais allées au Xinjiang", a déclaré le journaliste français Maxime Vivas, qui a récemment publié un livre sur ses deux voyages dans la région autonome du nord-ouest de la Chine.

Au cours de la 46e session du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies, qui vient de s'achever, Cuba a prononcé une déclaration commune au nom de 64 pays exhortant les pays concernés à cesser de s'ingérer dans les affaires intérieures de la Chine en manipulant les questions liées au Xinjiang, à s'abstenir de formuler des allégations infondées contre la Chine pour des motifs politiques et à freiner le développement des pays en développement sous le prétexte des droits de l'homme.

La Chine se concentre sur la lutte contre le terrorisme et le séparatisme au Xinjiang. Elle préserve les droits de l'homme dans la région et ne les enfreint pas.

Les pays occidentaux doivent cesser de fabriquer des récits sur le Xinjiang et abandonner leurs tentatives de saper la stabilité et le développement de la Chine.

Les entreprises étrangères opérant en Chine doivent respecter les règles du marché et éviter de politiser les questions commerciales.

La Chine accueille les entreprises et le personnel étrangers qui souhaitent opérer et se développer dans le pays. Mais elle s'oppose résolument aux attaques malveillantes fondées sur des rumeurs et des mensonges qui nuisent aux intérêts de la Chine.

 
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Les intentions sinistres derrière le boycott du coton du Xinjiang (Commentaire)

French.xinhuanet.com | Publié le 2021-03-26 à 22:24

BEIJING, 26 mars (Xinhua) -- Les récentes déclarations d'entreprises comme H&M et Nike qui refusent d'utiliser le coton du Xinjiang ont déclenché une dénonciation et une résistance généralisées de la part du public chinois.

Derrière le boycott du coton du Xinjiang se cachent les sinistres intentions des forces anti-chinoises de certains pays occidentaux, dont les États-Unis, qui cherchent à salir la Chine et à réprimer l'industrie chinoise. Le gouvernement et le peuple chinois s'y opposent fermement.

La production de coton au Xinjiang est depuis longtemps hautement mécanisée et ne nécessite pas un grand nombre de cueilleurs de coton.

L'accusation de "travail forcé" dans l'industrie du coton du Xinjiang est un mensonge total.

L'intention ultime de l'utilisation d'expressions telles que "travail forcé", "camps de concentration" et "génocide" est de miner la sécurité et la stabilité du Xinjiang et d'étouffer le développement de la Chine.

Lawrence Wilkerson, l'ancien bras droit de l'ex-secrétaire d'État américain Colin Powell, a déclaré un jour que si la CIA voulait déstabiliser la Chine, la meilleure façon de le faire était de provoquer des troubles sociaux et de bousculer la Chine de l'intérieur.

L'attention portée au coton du Xinjiang a également des motivations économiques. Les étranges accusations de "travail forcé" et de "violations des droits de l'homme" ne sont que des allégations utilisées pour réprimer l'industrie textile chinoise.

La Chine est le deuxième plus grand producteur de coton au monde, et le Xinjiang est la plus importante région productrice de coton, représentant près de 90% de la production de coton du pays.

L'augmentation constante de la production de coton en Chine et la croissance de l'industrie textile rendent nerveux certains aux États-Unis et en Occident.

En tant que premier exportateur mondial de coton, les États-Unis ont hypertrophié la question du Xinjiang dès février dernier, sous l'administration Trump, et ont décrété une interdiction des produits en coton en provenance du Xinjiang. Sous le prétexte de protéger les droits de l'homme, les États-Unis tentent de soutenir leur production domestique.

"D'innombrables mensonges sont diffusés par des personnes qui ne sont jamais allées au Xinjiang", a déclaré le journaliste français Maxime Vivas, qui a récemment publié un livre sur ses deux voyages dans la région autonome du nord-ouest de la Chine.

Au cours de la 46e session du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies, qui vient de s'achever, Cuba a prononcé une déclaration commune au nom de 64 pays exhortant les pays concernés à cesser de s'ingérer dans les affaires intérieures de la Chine en manipulant les questions liées au Xinjiang, à s'abstenir de formuler des allégations infondées contre la Chine pour des motifs politiques et à freiner le développement des pays en développement sous le prétexte des droits de l'homme.

La Chine se concentre sur la lutte contre le terrorisme et le séparatisme au Xinjiang. Elle préserve les droits de l'homme dans la région et ne les enfreint pas.

Les pays occidentaux doivent cesser de fabriquer des récits sur le Xinjiang et abandonner leurs tentatives de saper la stabilité et le développement de la Chine.

Les entreprises étrangères opérant en Chine doivent respecter les règles du marché et éviter de politiser les questions commerciales.

La Chine accueille les entreprises et le personnel étrangers qui souhaitent opérer et se développer dans le pays. Mais elle s'oppose résolument aux attaques malveillantes fondées sur des rumeurs et des mensonges qui nuisent aux intérêts de la Chine.

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