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Il est parfaitement logique d'exiger que "des patriotes gouvernent Hong Kong" (COMMENTAIRE)

 
French.xinhuanet.com | Publié le 2021-03-08 à 04:13

BEIJING, 7 mars (Xinhua) -- Un projet soumis à la plus haute instance législative de Chine en vue d'améliorer le système électoral de la Région administrative spéciale de Hong Kong (RASHK) a attiré l'attention du monde entier.

Malgré les clameurs familières de certains pays occidentaux au sujet de prétendues questions de "démocratie" et de "liberté", les mesures prises par Beijing pour améliorer le système électoral de Hong Kong ont obtenu un large soutien parmi ceux qui se soucient vraiment de la stabilité et du développement de Hong Kong.

Il est légitime, raisonnable et nécessaire que l'Assemblée populaire nationale (APN), l'organe législatif suprême de la Chine, prenne une décision au niveau constitutionnel pour améliorer le système électoral de Hong Kong.

Il est courant dans le monde que les gouvernements centraux jouent un rôle de premier plan dans la révision de leurs propres lois électorales. La Chambre des représentants des Etats-Unis a par exemple adopté mercredi un projet de loi sur la réforme électorale, qui oblige entre autres les Etats américains à mettre en place des commissions de redécoupage indépendantes. En France, c'est à l'Assemblée nationale de fixer les règles des élections législatives.

Hong Kong fait partie intégrante de la Chine, et la révision de son système électoral fait partie des affaires intérieures de la Chine. Attaquer la Chine à ce sujet est contraire aux principes du droit international et aux normes fondamentales régissant les relations internationales.

Il est en effet largement admis par la communauté mondiale qu'un pays doit être gouverné par ceux qui l'aiment et lui sont fidèles.

Aux Etats-Unis, la tradition exige depuis plusieurs décennies que les étudiants prêtent allégeance au drapeau, ou que les immigrants qui souhaitent devenir citoyens américains récitent le serment d'allégeance. La prestation de serment qui a lieu lors de l'accès à une fonction publique implique également sans équivoque la loyauté envers l'Etat.

Aucun pays au monde, pas même les Etats-Unis, ne permettrait à ses législateurs et fonctionnaires de trahir l'Etat ou de diviser le territoire national. Lorsqu'il s'agit de la Chine, certains pays occidentaux ont cependant coutume d'appliquer des normes différentes.

Pendant longtemps, avec l'aide de leurs agents à Hong Kong, les forces occidentales ont instrumentalisé les questions liées à la ville pour servir leurs propres intérêts politiques, s'ingérant de manière flagrante dans les affaires intérieures de la Chine.

En collaborant avec des forces occidentales extérieures, les forces anti-chinoises et déstabilisatrices à Hong Kong ont profité d'anciennes lacunes du système électoral local pour tenter de perturber la gouvernance de la RASHK.

Améliorer le système électoral de Hong Kong et s'assurer que la ville est administrée par des patriotes est impératif pour sauvegarder la souveraineté, la sécurité nationale et les intérêts de la Chine, et pour s'assurer que le principe "un pays, deux systèmes" soit bien appliqué.

Les mesures prises par la Chine pour préserver la prospérité et la stabilité de la ville à long terme ont obtenu un soutien croissant au sein de la communauté internationale.

Vendredi, au cours de la 46e session du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies, la Biélorussie a prononcé au nom de 70 pays un discours appelant les pays concernés à respecter la souveraineté de la Chine et à cesser de s'ingérer dans ses affaires intérieures, y compris concernant Hong Kong. Plus de 20 pays ont également exprimé leur soutien à la Chine lors de cet événement.

 
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Il est parfaitement logique d'exiger que "des patriotes gouvernent Hong Kong" (COMMENTAIRE)

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BEIJING, 7 mars (Xinhua) -- Un projet soumis à la plus haute instance législative de Chine en vue d'améliorer le système électoral de la Région administrative spéciale de Hong Kong (RASHK) a attiré l'attention du monde entier.

Malgré les clameurs familières de certains pays occidentaux au sujet de prétendues questions de "démocratie" et de "liberté", les mesures prises par Beijing pour améliorer le système électoral de Hong Kong ont obtenu un large soutien parmi ceux qui se soucient vraiment de la stabilité et du développement de Hong Kong.

Il est légitime, raisonnable et nécessaire que l'Assemblée populaire nationale (APN), l'organe législatif suprême de la Chine, prenne une décision au niveau constitutionnel pour améliorer le système électoral de Hong Kong.

Il est courant dans le monde que les gouvernements centraux jouent un rôle de premier plan dans la révision de leurs propres lois électorales. La Chambre des représentants des Etats-Unis a par exemple adopté mercredi un projet de loi sur la réforme électorale, qui oblige entre autres les Etats américains à mettre en place des commissions de redécoupage indépendantes. En France, c'est à l'Assemblée nationale de fixer les règles des élections législatives.

Hong Kong fait partie intégrante de la Chine, et la révision de son système électoral fait partie des affaires intérieures de la Chine. Attaquer la Chine à ce sujet est contraire aux principes du droit international et aux normes fondamentales régissant les relations internationales.

Il est en effet largement admis par la communauté mondiale qu'un pays doit être gouverné par ceux qui l'aiment et lui sont fidèles.

Aux Etats-Unis, la tradition exige depuis plusieurs décennies que les étudiants prêtent allégeance au drapeau, ou que les immigrants qui souhaitent devenir citoyens américains récitent le serment d'allégeance. La prestation de serment qui a lieu lors de l'accès à une fonction publique implique également sans équivoque la loyauté envers l'Etat.

Aucun pays au monde, pas même les Etats-Unis, ne permettrait à ses législateurs et fonctionnaires de trahir l'Etat ou de diviser le territoire national. Lorsqu'il s'agit de la Chine, certains pays occidentaux ont cependant coutume d'appliquer des normes différentes.

Pendant longtemps, avec l'aide de leurs agents à Hong Kong, les forces occidentales ont instrumentalisé les questions liées à la ville pour servir leurs propres intérêts politiques, s'ingérant de manière flagrante dans les affaires intérieures de la Chine.

En collaborant avec des forces occidentales extérieures, les forces anti-chinoises et déstabilisatrices à Hong Kong ont profité d'anciennes lacunes du système électoral local pour tenter de perturber la gouvernance de la RASHK.

Améliorer le système électoral de Hong Kong et s'assurer que la ville est administrée par des patriotes est impératif pour sauvegarder la souveraineté, la sécurité nationale et les intérêts de la Chine, et pour s'assurer que le principe "un pays, deux systèmes" soit bien appliqué.

Les mesures prises par la Chine pour préserver la prospérité et la stabilité de la ville à long terme ont obtenu un soutien croissant au sein de la communauté internationale.

Vendredi, au cours de la 46e session du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies, la Biélorussie a prononcé au nom de 70 pays un discours appelant les pays concernés à respecter la souveraineté de la Chine et à cesser de s'ingérer dans ses affaires intérieures, y compris concernant Hong Kong. Plus de 20 pays ont également exprimé leur soutien à la Chine lors de cet événement.

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