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(COVID-19) Les accusations sans fondement des Etats-Unis contre la Chine exposent leurs propres problèmes des droits de l'homme (Quotidien du Peuple)

 
French.xinhuanet.com | Publié le 2020-05-04 à 22:09

BEIJING, 4 mai (Xinhua) -- Un commentaire publié dans l'édition de lundi du Quotidien du Peuple fustige certains politiciens américains pour avoir dénigré la lutte de la Chine contre l'épidémie du COVID-19 avec des accusations sans fondement de soi-disant "violations des droits de l'homme".

La démarche des Etats-Unis vise à couvrir leur propre faute qui consiste à ne pas avoir fait passer la vie des gens au premier plan et à ne pas avoir réussi à contenir l'épidémie aux Etats-Unis, déclare le commentaire sous la signature de Zhong Sheng.

N'épargner aucun effort pour sauver la vie est profondément ancré dans la psyché chinoise, ce qui a été pleinement illustré dans les efforts sans réserve de la Chine pour lutter contre le nouveau coronavirus, selon l'article.

Cependant, sept sénateurs américains ont récemment envoyé une lettre au secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, calomniant la Chine pour avoir '"commis ses violations les plus flagrantes des droits de l'homme" pendant l'épidémie.

Personne ne s'est fait l'écho de cette critique sans fondement. John Ross, ancien directeur de la politique économique et commerciale de Londres, a indiqué que la Chine avait "une véritable compréhension des droits de l'homme" et que "le principal droit de l'homme est de rester en vie".

Le droit à la vie est l'un des droits de l'homme les plus fondamentaux inscrits dans "La Déclaration universelle des droits de l'homme" des Nations Unies.

Les soi-disant "violations des droits de l'homme" fabriquées par certains politiciens mal intentionnés des Etats-Unis constituent un affront à la lutte du peuple chinois contre le virus, selon l'article.

Notant que le gouvernement chinois a placé la vie et la santé de son peuple en tête de ses priorités, l'article montre clairement comment le pays a tout mis en oeuvre pour sauver chaque patient du COVID-19, quel qu'en soit le coût.

Il souligne également que la Chine a pris des mesures concrètes pour aider les autres pays et régions à lutter contre le coronavirus et a apporté de grandes contributions aux efforts internationaux en matière de droits de l'homme.

A partir du 3 janvier, la Chine a commencé à informer de manière régulière l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) et des pays dont les Etats-Unis de l'épidémie de la pneumonie à cause inconnue et des mesures de réponse de la Chine. Cependant, les Etats-Unis ont gaspillé deux mois qui auraient pu être utilisés pour préparer les mesures de réponse, indique l'article.

Pour contenir la propagation du virus, les Chinois sont volontairement restés chez eux, et les gouvernements de tous les échelons en Chine ont pris des mesures résolues et efficaces dans la lutte contre le virus. En revanche, après la forte augmentation du nombre de cas confirmés et de décès aux Etats-Unis, les départements du gouvernement américain se disputaient pour obtenir des dotations pour juguler le coronavirus.

Pas étonnant que des médias américains aient qualifié de "désastreuse" la réponse du gouvernement américain à la crise.

Autoproclamés "défenseurs mondiaux des droits de l'homme", les Etats-Unis sont en fait connus pour leur propre bilan en matière de droits de l'homme.

Alors que le COVID-19 continue de faire des ravages dans le monde, les Etats-Unis ont annoncé qu'ils suspendraient le financement à l'OMS, une décision dénoncée par la revue médicale The Lancet comme "un crime contre l'humanité", indique l'article, ajoutant que les sanctions des Etats-Unis contre l'Iran, Cuba, le Venezuela et d'autres pays ont gravement entravé les efforts de lutte contre l'épidémie dans ces pays.

"De quel genre de 'droits de l'homme' s'agit-il ?" demande l'article.

Sans vie ni santé, il n'y a pas de droits de l'homme, selon l'article, demandant à certains politiciens américains d'arrêter de scander des slogans vides de sens et de commencer à s'occuper de la vie des citoyens américains.

 
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(COVID-19) Les accusations sans fondement des Etats-Unis contre la Chine exposent leurs propres problèmes des droits de l'homme (Quotidien du Peuple)

French.xinhuanet.com | Publié le 2020-05-04 à 22:09

BEIJING, 4 mai (Xinhua) -- Un commentaire publié dans l'édition de lundi du Quotidien du Peuple fustige certains politiciens américains pour avoir dénigré la lutte de la Chine contre l'épidémie du COVID-19 avec des accusations sans fondement de soi-disant "violations des droits de l'homme".

La démarche des Etats-Unis vise à couvrir leur propre faute qui consiste à ne pas avoir fait passer la vie des gens au premier plan et à ne pas avoir réussi à contenir l'épidémie aux Etats-Unis, déclare le commentaire sous la signature de Zhong Sheng.

N'épargner aucun effort pour sauver la vie est profondément ancré dans la psyché chinoise, ce qui a été pleinement illustré dans les efforts sans réserve de la Chine pour lutter contre le nouveau coronavirus, selon l'article.

Cependant, sept sénateurs américains ont récemment envoyé une lettre au secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, calomniant la Chine pour avoir '"commis ses violations les plus flagrantes des droits de l'homme" pendant l'épidémie.

Personne ne s'est fait l'écho de cette critique sans fondement. John Ross, ancien directeur de la politique économique et commerciale de Londres, a indiqué que la Chine avait "une véritable compréhension des droits de l'homme" et que "le principal droit de l'homme est de rester en vie".

Le droit à la vie est l'un des droits de l'homme les plus fondamentaux inscrits dans "La Déclaration universelle des droits de l'homme" des Nations Unies.

Les soi-disant "violations des droits de l'homme" fabriquées par certains politiciens mal intentionnés des Etats-Unis constituent un affront à la lutte du peuple chinois contre le virus, selon l'article.

Notant que le gouvernement chinois a placé la vie et la santé de son peuple en tête de ses priorités, l'article montre clairement comment le pays a tout mis en oeuvre pour sauver chaque patient du COVID-19, quel qu'en soit le coût.

Il souligne également que la Chine a pris des mesures concrètes pour aider les autres pays et régions à lutter contre le coronavirus et a apporté de grandes contributions aux efforts internationaux en matière de droits de l'homme.

A partir du 3 janvier, la Chine a commencé à informer de manière régulière l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) et des pays dont les Etats-Unis de l'épidémie de la pneumonie à cause inconnue et des mesures de réponse de la Chine. Cependant, les Etats-Unis ont gaspillé deux mois qui auraient pu être utilisés pour préparer les mesures de réponse, indique l'article.

Pour contenir la propagation du virus, les Chinois sont volontairement restés chez eux, et les gouvernements de tous les échelons en Chine ont pris des mesures résolues et efficaces dans la lutte contre le virus. En revanche, après la forte augmentation du nombre de cas confirmés et de décès aux Etats-Unis, les départements du gouvernement américain se disputaient pour obtenir des dotations pour juguler le coronavirus.

Pas étonnant que des médias américains aient qualifié de "désastreuse" la réponse du gouvernement américain à la crise.

Autoproclamés "défenseurs mondiaux des droits de l'homme", les Etats-Unis sont en fait connus pour leur propre bilan en matière de droits de l'homme.

Alors que le COVID-19 continue de faire des ravages dans le monde, les Etats-Unis ont annoncé qu'ils suspendraient le financement à l'OMS, une décision dénoncée par la revue médicale The Lancet comme "un crime contre l'humanité", indique l'article, ajoutant que les sanctions des Etats-Unis contre l'Iran, Cuba, le Venezuela et d'autres pays ont gravement entravé les efforts de lutte contre l'épidémie dans ces pays.

"De quel genre de 'droits de l'homme' s'agit-il ?" demande l'article.

Sans vie ni santé, il n'y a pas de droits de l'homme, selon l'article, demandant à certains politiciens américains d'arrêter de scander des slogans vides de sens et de commencer à s'occuper de la vie des citoyens américains.

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