french.xinhuanet.com
 

(COVID-19) L'OCHA s'inquiète pour les 100 millions de personnes vivant dans des zones de guerre face à la pandémie de COVID-19

 
French.xinhuanet.com | Publié le 2020-03-21 à 02:41

GENEVE, 20 mars (Xinhua) -- Dans les zones de guerre, 100 millions de personnes sont confrontées à des risques extrêmes liés au COVID-19, a déclaré vendredi Jens Laerke, porte-parole du Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU (OCHA).

"Le monde doit continuer à soutenir les plus vulnérables, notamment par le biais de plans d'intervention humanitaire et d'aide aux réfugiés coordonnés par les Nations Unies", a-t-il souligné.

Les organismes d'aide s'inquiètent des systèmes de surveillance limités dans certains pays où vivent des milliers de personnes vulnérables, car ces pays "ne disposent pas forcément des infrastructures nécessaires pour faire face à l'impact à grande échelle de la pandémie", a expliqué M. Laerke.

Le surpeuplement des camps de personnes déplacées dans certains des points chauds humanitaires du monde est également une zone à haut risque pour le COVID-19, a-t-il poursuivi, ajoutant : "lorsque le virus atteint ces endroits, les conséquences pourraient être dévastatrices".

Selon l'OCHA, des chaînes d'approvisionnement perturbées pourraient signifier que les produits nutritionnels pour lutter contre la malnutrition fabriqués dans un pays pourraient ne pas arriver dans un autre pays où ils sont nécessaires. Les organismes humanitaires se préparent déjà à ce que des programmes de repas scolaires soient suspendus.

 
Vous avez une question, une remarque, des suggestions ? Contactez notre équipe de rédaction par e-mail à xinhuanet_french@news.cn

(COVID-19) L'OCHA s'inquiète pour les 100 millions de personnes vivant dans des zones de guerre face à la pandémie de COVID-19

French.xinhuanet.com | Publié le 2020-03-21 à 02:41

GENEVE, 20 mars (Xinhua) -- Dans les zones de guerre, 100 millions de personnes sont confrontées à des risques extrêmes liés au COVID-19, a déclaré vendredi Jens Laerke, porte-parole du Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU (OCHA).

"Le monde doit continuer à soutenir les plus vulnérables, notamment par le biais de plans d'intervention humanitaire et d'aide aux réfugiés coordonnés par les Nations Unies", a-t-il souligné.

Les organismes d'aide s'inquiètent des systèmes de surveillance limités dans certains pays où vivent des milliers de personnes vulnérables, car ces pays "ne disposent pas forcément des infrastructures nécessaires pour faire face à l'impact à grande échelle de la pandémie", a expliqué M. Laerke.

Le surpeuplement des camps de personnes déplacées dans certains des points chauds humanitaires du monde est également une zone à haut risque pour le COVID-19, a-t-il poursuivi, ajoutant : "lorsque le virus atteint ces endroits, les conséquences pourraient être dévastatrices".

Selon l'OCHA, des chaînes d'approvisionnement perturbées pourraient signifier que les produits nutritionnels pour lutter contre la malnutrition fabriqués dans un pays pourraient ne pas arriver dans un autre pays où ils sont nécessaires. Les organismes humanitaires se préparent déjà à ce que des programmes de repas scolaires soient suspendus.

010020070770000000000000011107421389003091