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Première audition de la commission judiciaire de la Chambre des représentants dans le cadre de la procédure de destitution de Trump

 
French.xinhuanet.com | Publié le 2019-12-05 à 03:17

WASHINGTON, 4 décembre (Xinhua) -- La Commission judiciaire de la Chambre des représentants, dirigée par les démocrates, tient sa première audition publique mercredi depuis qu'elle a pris le relais dans le cadre de la procédure de destitution du président américain Donald Trump.

"Nous ne pouvons pas attendre les élections pour faire face à la crise actuelle", a déclaré le président Jerry Nadler dans son discours d'ouverture. "S'il est vrai que le président Trump a commis un (ou des) délit(s) passible(s) de destitution, alors nous devons agir rapidement pour faire notre devoir et l'accuser en conséquence."

Un membre de haut rang, Doug Collins, s'en est pris aux démocrates, les accusant d'avoir tenté de destituer Trump depuis son élection, tandis que le républicain à la tête du groupe a affirmé que l'enquête sur la destitution est conduite par "l'horloge et le calendrier" plutôt que par "les faits".

Leurs remarques ont été suivies de déclarations liminaires de quatre professeurs de droit constitutionnel qui répondront plus tard aux questions des avocats et des législateurs des deux partis.

 
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Première audition de la commission judiciaire de la Chambre des représentants dans le cadre de la procédure de destitution de Trump

French.xinhuanet.com | Publié le 2019-12-05 à 03:17

WASHINGTON, 4 décembre (Xinhua) -- La Commission judiciaire de la Chambre des représentants, dirigée par les démocrates, tient sa première audition publique mercredi depuis qu'elle a pris le relais dans le cadre de la procédure de destitution du président américain Donald Trump.

"Nous ne pouvons pas attendre les élections pour faire face à la crise actuelle", a déclaré le président Jerry Nadler dans son discours d'ouverture. "S'il est vrai que le président Trump a commis un (ou des) délit(s) passible(s) de destitution, alors nous devons agir rapidement pour faire notre devoir et l'accuser en conséquence."

Un membre de haut rang, Doug Collins, s'en est pris aux démocrates, les accusant d'avoir tenté de destituer Trump depuis son élection, tandis que le républicain à la tête du groupe a affirmé que l'enquête sur la destitution est conduite par "l'horloge et le calendrier" plutôt que par "les faits".

Leurs remarques ont été suivies de déclarations liminaires de quatre professeurs de droit constitutionnel qui répondront plus tard aux questions des avocats et des législateurs des deux partis.

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