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L'ambassadeur d'Iran à Londres confirme que le pétrolier iranien a quitté Gibraltar

 
French.xinhuanet.com | Publié le 2019-08-19 à 13:51

LONDRES, 19 août (Xinhua) -- Le pétrolier iranien arraisonné par le Royaume-Uni il y a plusieurs semaines a quitté Gibraltar en direction des eaux internationales, a confirmé lundi l'ambassadeur d'Iran à Londres, Hamid Baeidinejad.

"A ce stade, nous confirmons que (...) le pétrolier iranien a commencé à se diriger vers les eaux internationales", a-t-il tweeté.

D'après le site spécialisé MarineTraffic cité par des médias, l'Adrian Darya 1, le nouveau nom du pétrolier autrefois appelé Grace 1, a appareillé avant dimanche minuit.

Les autorités de Gibraltar ont libéré jeudi le pétrolier iranien et rejeté ensuite une nouvelle demande des Etats-Unis visant à l'immobiliser.

Le navire iranien avait été saisi le mois dernier dans le détroit de Gibraltar par la Marine britannique, accusant le bâtiment de se rendre en Syrie "en violation des sanctions décrétées par l'UE" contre Damas, ce que l'Iran a démenti.

 
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L'ambassadeur d'Iran à Londres confirme que le pétrolier iranien a quitté Gibraltar

French.xinhuanet.com | Publié le 2019-08-19 à 13:51

LONDRES, 19 août (Xinhua) -- Le pétrolier iranien arraisonné par le Royaume-Uni il y a plusieurs semaines a quitté Gibraltar en direction des eaux internationales, a confirmé lundi l'ambassadeur d'Iran à Londres, Hamid Baeidinejad.

"A ce stade, nous confirmons que (...) le pétrolier iranien a commencé à se diriger vers les eaux internationales", a-t-il tweeté.

D'après le site spécialisé MarineTraffic cité par des médias, l'Adrian Darya 1, le nouveau nom du pétrolier autrefois appelé Grace 1, a appareillé avant dimanche minuit.

Les autorités de Gibraltar ont libéré jeudi le pétrolier iranien et rejeté ensuite une nouvelle demande des Etats-Unis visant à l'immobiliser.

Le navire iranien avait été saisi le mois dernier dans le détroit de Gibraltar par la Marine britannique, accusant le bâtiment de se rendre en Syrie "en violation des sanctions décrétées par l'UE" contre Damas, ce que l'Iran a démenti.

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