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Syrie : l'ONU condamne les frappes aériennes dans le nord-ouest du pays

 
French.xinhuanet.com | Publié le 2019-07-12 à 08:30

NEW YORK (Nations Unies), 11 juillet (Xinhua) -- Le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a fermement condamné les frappes aériennes en cours dans le nord-ouest de la Syrie.

Ces frappes aériennes "touchent des civils" ainsi que "des installations et du personnel de santé", a indiqué Stéphane Dujarric, le porte-parole du secrétaire général, dans une déclaration de presse publiée jeudi soir.

Plusieurs établissements de santé auraient été touchés (mercredi), notamment un hôpital situé à Maarat al Numan, l'un des plus grands de la région. Les coordonnées géographiques de l'hôpital touché "avaient été partagées par le biais du mécanisme de désescalade de l'ONU", a précisé M. Dujarric.

Par la voix de son porte-parole, le secrétaire général a rappelé que les civils et les infrastructures civiles, y compris les installations médicales, doivent être protégés.

"Les parties au conflit doivent respecter les obligations qui leur incombent en vertu du droit international humanitaire. Les auteurs de violations graves du droit international humanitaire doivent rendre des comptes", a ajouté M. Dujarric.

Antonio Guterres a réitéré son appel urgent à faire respecter le mémorandum d'accord sur Idlib conclu entre la Russie et la Turquie de septembre 2018. L'accord convenu entre Moscou et Ankara prévoit une "zone démilitarisée" sous leur contrôle dans la région d'Idlib.

 
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Syrie : l'ONU condamne les frappes aériennes dans le nord-ouest du pays

French.xinhuanet.com | Publié le 2019-07-12 à 08:30

NEW YORK (Nations Unies), 11 juillet (Xinhua) -- Le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a fermement condamné les frappes aériennes en cours dans le nord-ouest de la Syrie.

Ces frappes aériennes "touchent des civils" ainsi que "des installations et du personnel de santé", a indiqué Stéphane Dujarric, le porte-parole du secrétaire général, dans une déclaration de presse publiée jeudi soir.

Plusieurs établissements de santé auraient été touchés (mercredi), notamment un hôpital situé à Maarat al Numan, l'un des plus grands de la région. Les coordonnées géographiques de l'hôpital touché "avaient été partagées par le biais du mécanisme de désescalade de l'ONU", a précisé M. Dujarric.

Par la voix de son porte-parole, le secrétaire général a rappelé que les civils et les infrastructures civiles, y compris les installations médicales, doivent être protégés.

"Les parties au conflit doivent respecter les obligations qui leur incombent en vertu du droit international humanitaire. Les auteurs de violations graves du droit international humanitaire doivent rendre des comptes", a ajouté M. Dujarric.

Antonio Guterres a réitéré son appel urgent à faire respecter le mémorandum d'accord sur Idlib conclu entre la Russie et la Turquie de septembre 2018. L'accord convenu entre Moscou et Ankara prévoit une "zone démilitarisée" sous leur contrôle dans la région d'Idlib.

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