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Le groupe de Lima refuse toute intervention militaire au Venezuela

 
French.xinhuanet.com | Publié le 2019-04-16 à 16:12

SANTIAGO, 15 avril (Xinhua) -- Le groupe de Lima a refusé lundi toute intervention militaire au Venezuela, se disant favorable à la recherche d'une solution négociée à la crise dans le pays d'Amérique du Sud.

Il "rejette toute menace ou tout plan d'action impliquant une intervention militaire au Venezuela", selon un communiqué officiel publié par les ministres des Affaires étrangères de ce bloc à l'issue d'une réunion tenue à Santiago du Chili.

Les membres de ce bloc ont dit soutenir une solution pacifique "entreprise par les Vénézuéliens eux-mêmes", selon la même source.

La réunion a eu lieu alors que le Canada a annoncé de nouvelles sanctions à l'encontre de 41 membres du gouvernement du président vénézuélien Nicolas Maduro, qu'il tient "pour responsable de la détérioration de la situation" dans le pays.

Le ministre chilien des Affaires étrangères, Roberto Ampuero, a jugé la politique du bloc "très claire" et que le groupe de Lima était en quête d'une "solution démocratique, politique et non violente" à la crise.

Le groupe de Lima, composé de 13 pays d'Amérique latine et du Canada, a été fondé à Lima (Pérou) en 2017 avec pour objectif de régler la crise au Venezuela. Il a décidé de tenir sa prochaine réunion au Guatemala à une date encore non précisée.

 
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Le groupe de Lima refuse toute intervention militaire au Venezuela

French.xinhuanet.com | Publié le 2019-04-16 à 16:12

SANTIAGO, 15 avril (Xinhua) -- Le groupe de Lima a refusé lundi toute intervention militaire au Venezuela, se disant favorable à la recherche d'une solution négociée à la crise dans le pays d'Amérique du Sud.

Il "rejette toute menace ou tout plan d'action impliquant une intervention militaire au Venezuela", selon un communiqué officiel publié par les ministres des Affaires étrangères de ce bloc à l'issue d'une réunion tenue à Santiago du Chili.

Les membres de ce bloc ont dit soutenir une solution pacifique "entreprise par les Vénézuéliens eux-mêmes", selon la même source.

La réunion a eu lieu alors que le Canada a annoncé de nouvelles sanctions à l'encontre de 41 membres du gouvernement du président vénézuélien Nicolas Maduro, qu'il tient "pour responsable de la détérioration de la situation" dans le pays.

Le ministre chilien des Affaires étrangères, Roberto Ampuero, a jugé la politique du bloc "très claire" et que le groupe de Lima était en quête d'une "solution démocratique, politique et non violente" à la crise.

Le groupe de Lima, composé de 13 pays d'Amérique latine et du Canada, a été fondé à Lima (Pérou) en 2017 avec pour objectif de régler la crise au Venezuela. Il a décidé de tenir sa prochaine réunion au Guatemala à une date encore non précisée.

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