TUNIS, 21 février (Xinhua) -- Voici les principales informations diffusées par des médias tunisiens jeudi :

- - -

Supercoupe de Tunisie : Le Club Africain refuse de jouer

Après avoir contesté la désignation de Youssef Srairi pour diriger le match de Supercoupe de Tunisie, au programme le 24 février à Doha, la direction du Club Africain est monté au créneau. Le porte-parole, Kamel Ben Khelil a annoncé que les rouges et blancs ne disputeront pas ce match, tant que l'arbitre de la rencontre n'est pas changé. Aujourd'hui, le président de la DNA, Aouaz Trabelsi avait déclaré à Nessma TV qu'il n'est pas question de céder à la pression et que le trio arbitral désigné ne sera pas modifié.

- - -

TUNISIE NUMÉRIQUE

Sousse : Arrestation d'un Libyen pour suspicion d'appartenance à un groupe terroriste et de trafic d'armes

Les forces de l'ordre du district de Sousse ont réussi, suite à un travail d'investigation, à opérer une descente sur le domicile d'un ressortissant libyen dans la localité de Hammam Sousse Ghrabi, où ils ont découvert d'importantes sommes d'argent en dinars et en devises étrangères. Cet individu a été appréhendé pour suspicion d'appartenance à un groupe terroriste et pour contrebande d'armes et blanchiment d'argent.

- - -

WEB MANAGERCENTER

Sommet arabe : La Tunisie réussira-t-elle à faire parler de paix entre des pays en guerre ?

Les préparatifs pour la tenue du Sommet arabe à Tunis du 26 au 31 mars 2019 avancent rapidement. Outre l'amélioration de l'environnement physique et la remise à neuf du Palais des congrès pour satisfaire aux exigences d'un événement aussi important, tous les détails concernant le séjour des délégations arabes invitées au sommet ont été réglés. Pour Khemaies Jhinnaoui, ministre des Affaires étrangères, le sommet est un événement national et les Tunisiens de tous bords sont concernés et sont responsables de sa réussite. Le choix porté sur la Tunisie pour abriter ce sommet -qui devait se tenir au Bahreïn- dénote d'une reprise de confiance des pays arabes dans notre pays après des années (2011/2013) où les maladresses diplomatiques ou d'ordre protocolaire ont défrayé la chronique nationale et internationale. Fin