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Les accusations d'ingérence russe dans la présidentielle américaine sont "sans fondement", selon le Kremlin

 
French.xinhuanet.com | Publié le 2018-12-18 à 22:03

MOSCOU, 18 décembre (Xinhua) -- Le rapport attendu de la commission du Renseignement du Sénat américain sur l'ingérence russe dans l'élection présidentielle des Etats-Unis de 2016 est "absolument sans fondement", a réagi mardi le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.

La Russie et son gouvernement n'ont aucun lien avec aucune ingérence que ce soit, surtout quand celle-ci est décrite de façon aussi abstraite, a ajouté M. Peskov, cité par la presse russe.

Deux enquêtes figurant dans le futur rapport, dont des extraits ont été publiés lundi, donnent des détails sur cette ingérence russe via les réseaux sociaux et des médias. L'une a été menée par l'Université Oxford et la société d'analyse de réseau Graphica. L'autre l'a été par la société de cybersécurité New Knowledge, l'Université de Columbia et le Groupe de recherche Canfield.

M. Peskov a indiqué que d'après ce qu'il avait pu en lire, certaines des accusations sont "complètement incompréhensibles" à ses yeux.

 
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Les accusations d'ingérence russe dans la présidentielle américaine sont "sans fondement", selon le Kremlin

French.xinhuanet.com | Publié le 2018-12-18 à 22:03

MOSCOU, 18 décembre (Xinhua) -- Le rapport attendu de la commission du Renseignement du Sénat américain sur l'ingérence russe dans l'élection présidentielle des Etats-Unis de 2016 est "absolument sans fondement", a réagi mardi le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.

La Russie et son gouvernement n'ont aucun lien avec aucune ingérence que ce soit, surtout quand celle-ci est décrite de façon aussi abstraite, a ajouté M. Peskov, cité par la presse russe.

Deux enquêtes figurant dans le futur rapport, dont des extraits ont été publiés lundi, donnent des détails sur cette ingérence russe via les réseaux sociaux et des médias. L'une a été menée par l'Université Oxford et la société d'analyse de réseau Graphica. L'autre l'a été par la société de cybersécurité New Knowledge, l'Université de Columbia et le Groupe de recherche Canfield.

M. Peskov a indiqué que d'après ce qu'il avait pu en lire, certaines des accusations sont "complètement incompréhensibles" à ses yeux.

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