french.xinhuanet.com
 

Hausse du nombre de journalistes tués dans le monde depuis début 2018 (PEC)

 
French.xinhuanet.com | Publié le 2018-12-18 à 09:23

GENEVE, 17 décembre (Xinhua) -- Depuis début 2018, 113 journalistes ont été tués dans 30 pays et régions, en hausse de 14% sur l'année précédente, a annoncé lundi la Presse Emblème Campagne (PEC) dans son rapport annuel.

L'Afghanistan, le Mexique et la Syrie sont les pays les plus dangereux pour la presse, avec 17 tués, 17 tués et 11 tués respectivement. Ces trois pays sont suivis par le Yémen et l'Inde, avec 8 morts dans chaque pays.

Les cinq pays susmentionnés, avec 61 tués, représentent plus de la moitié des victimes depuis début 2018.

Par région, l'Asie a connu plus de victimes, avec 36 tués, devant l'Amérique latine (32 tués), le Moyen-Orient (24 tués), l'Afrique (8 tués), l'Europe (7 tués) et l'Amérique du Nord (6 tués), selon le rapport de la PEC.

La baisse la plus forte du nombre de victimes a été enregistrée en Irak, avec un seul cette année contre 9 tués en 2017. Pourtant l'Afghanistan a connu la plus forte hausse, où le nombre de victimes a augmenté de 8 en 2017 à 17 cette année.

Par ailleurs, 7 journalistes femmes ont été tuées en 2018, contre 5 en 2016 et 16 en 2017.

La PEC condamne les violences contre les journalistes et exhorte les autorités concernées à traduire en justice les auteurs. Elle demande également les organisations internationales de jouer leur rôle dans la protection des journalistes.

La PEC est une organisation non gouvernementale avec statut consultatif spécial à l'ONU. Fondée en 2004 par un groupe de journalistes de plusieurs pays et basée à Genève, la PEC oeuvre pour le renforcement de la protection et de la sécurité des journalistes dans les zones de conflit, de violences internes et en mission dangereuse.

 
Vous avez une question, une remarque, des suggestions ? Contactez notre équipe de rédaction par email à xinhuanet_french@news.cn

Hausse du nombre de journalistes tués dans le monde depuis début 2018 (PEC)

French.xinhuanet.com | Publié le 2018-12-18 à 09:23

GENEVE, 17 décembre (Xinhua) -- Depuis début 2018, 113 journalistes ont été tués dans 30 pays et régions, en hausse de 14% sur l'année précédente, a annoncé lundi la Presse Emblème Campagne (PEC) dans son rapport annuel.

L'Afghanistan, le Mexique et la Syrie sont les pays les plus dangereux pour la presse, avec 17 tués, 17 tués et 11 tués respectivement. Ces trois pays sont suivis par le Yémen et l'Inde, avec 8 morts dans chaque pays.

Les cinq pays susmentionnés, avec 61 tués, représentent plus de la moitié des victimes depuis début 2018.

Par région, l'Asie a connu plus de victimes, avec 36 tués, devant l'Amérique latine (32 tués), le Moyen-Orient (24 tués), l'Afrique (8 tués), l'Europe (7 tués) et l'Amérique du Nord (6 tués), selon le rapport de la PEC.

La baisse la plus forte du nombre de victimes a été enregistrée en Irak, avec un seul cette année contre 9 tués en 2017. Pourtant l'Afghanistan a connu la plus forte hausse, où le nombre de victimes a augmenté de 8 en 2017 à 17 cette année.

Par ailleurs, 7 journalistes femmes ont été tuées en 2018, contre 5 en 2016 et 16 en 2017.

La PEC condamne les violences contre les journalistes et exhorte les autorités concernées à traduire en justice les auteurs. Elle demande également les organisations internationales de jouer leur rôle dans la protection des journalistes.

La PEC est une organisation non gouvernementale avec statut consultatif spécial à l'ONU. Fondée en 2004 par un groupe de journalistes de plusieurs pays et basée à Genève, la PEC oeuvre pour le renforcement de la protection et de la sécurité des journalistes dans les zones de conflit, de violences internes et en mission dangereuse.

010020070770000000000000011100001376816371