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La Chine qualifie d'"immoral" l'usage des droits de l'homme à des fins politiques

 
French.xinhuanet.com | Publié le 2018-12-12 à 11:05

BEIJING, 12 décembre (Xinhua) -- La Chine a qualifié d'"immoral" l'usage des droits de l'homme à des fins politiques, demandant à la partie américaine de traiter de manière sérieuse et objective les moyens choisis par le peuple chinois pour aborder les questions relatives aux droits de l'homme.

Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Lu Kang a formulé cette requête lors d'un point de presse, en commentant la déclaration faite le 10 décembre par l'ambassadeur des États-Unis en Chine, Terry Branstad, à l'occasion de la Journée internationale des droits de l'homme. Ce dernier avait déclaré avoir observé les "progrès considérables" de la Chine dans de nombreux domaines, tout en formulant une accusation infondée concernant la situation des droits de l'homme en Chine.

"Il est impossible de comprendre avec exactitude d'autres pays en ayant des préjugés, et donc de renforcer la confiance mutuelle", a déclaré M. Lu.

La norme américaine est une "solution universelle" et aveugle et s'est avérée un échec dans de nombreuses parties du monde, a indiqué le porte-parole chinois.

Lors de la récente visite en Chine du président allemand, Frank-Walter Steinmeier, certains médias allemands ont déclaré que M. Steinmeier avait abordé les questions relatives aux droits de l'homme lors de ses rencontres avec les dirigeants chinois.

En commentant les questions concernées, M. Lu a affirmé que la Chine adoptait une attitude ouverte à l'égard des échanges et du dialogue sur les droits de l'homme sur la base du respect mutuel.

Il a noté que la coopération et les échanges sino-allemands couvraient un large éventail de domaines, y compris la protection des droits de l'homme, les questions relatives à l'immigration et les défis posés par le développement numérique.

Il a expliqué que la Chine et l'Allemagne étaient différentes en termes d'histoire, de culture, de développement et de systèmes sociaux et que leurs points de vue sur certaines questions pouvaient ne pas être exactement identiques. Cependant, tant que les deux parties insistent sur le respect mutuel et se traitent sur un pied d'égalité, des pourparlers constructifs et des échanges amicaux peuvent être menés.

 
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La Chine qualifie d'"immoral" l'usage des droits de l'homme à des fins politiques

French.xinhuanet.com | Publié le 2018-12-12 à 11:05

BEIJING, 12 décembre (Xinhua) -- La Chine a qualifié d'"immoral" l'usage des droits de l'homme à des fins politiques, demandant à la partie américaine de traiter de manière sérieuse et objective les moyens choisis par le peuple chinois pour aborder les questions relatives aux droits de l'homme.

Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Lu Kang a formulé cette requête lors d'un point de presse, en commentant la déclaration faite le 10 décembre par l'ambassadeur des États-Unis en Chine, Terry Branstad, à l'occasion de la Journée internationale des droits de l'homme. Ce dernier avait déclaré avoir observé les "progrès considérables" de la Chine dans de nombreux domaines, tout en formulant une accusation infondée concernant la situation des droits de l'homme en Chine.

"Il est impossible de comprendre avec exactitude d'autres pays en ayant des préjugés, et donc de renforcer la confiance mutuelle", a déclaré M. Lu.

La norme américaine est une "solution universelle" et aveugle et s'est avérée un échec dans de nombreuses parties du monde, a indiqué le porte-parole chinois.

Lors de la récente visite en Chine du président allemand, Frank-Walter Steinmeier, certains médias allemands ont déclaré que M. Steinmeier avait abordé les questions relatives aux droits de l'homme lors de ses rencontres avec les dirigeants chinois.

En commentant les questions concernées, M. Lu a affirmé que la Chine adoptait une attitude ouverte à l'égard des échanges et du dialogue sur les droits de l'homme sur la base du respect mutuel.

Il a noté que la coopération et les échanges sino-allemands couvraient un large éventail de domaines, y compris la protection des droits de l'homme, les questions relatives à l'immigration et les défis posés par le développement numérique.

Il a expliqué que la Chine et l'Allemagne étaient différentes en termes d'histoire, de culture, de développement et de systèmes sociaux et que leurs points de vue sur certaines questions pouvaient ne pas être exactement identiques. Cependant, tant que les deux parties insistent sur le respect mutuel et se traitent sur un pied d'égalité, des pourparlers constructifs et des échanges amicaux peuvent être menés.

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