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L'Iran estime qu'Israël ne peut pas affecter ses liens avec la Russie

 
French.xinhuanet.com | Publié le 2018-07-14 à 03:13

TÉHÉRAN, 13 juillet (Xinhua) -- Un proche conseiller du guide suprême iranien a dit vendredi qu'Israël ne peut pas affecter les liens cordiaux entre l'Iran et la Russie, a rapporté PressTV.

Les remarques ont été faites par Ali Akbar Velayati, à Moscou, vendredi, soit deux jours après la rencontre entre le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et le président russe, Vladimir Poutine.

Mercredi, M. Nétanyahou a réitéré l'exigence d'Israël : "l'Iran doit quitter la Syrie."

"Le processus de développement des relations entre l'Iran et la Russie n'est pas unilatéral et par conséquent, les exigences inappropriées, dénuées de sens et interventionnistes de M. Nétanyahou n'affectent pas les relations entre l'Iran et la Russie," a dit M. Velayati.

Le rôle de l'Iran en Syrie sera l'un des sujets clés qui seraient abordés lors du prochain sommet entre M. Poutine et son homologue américain Donald Trump, à Helsinki, la capitale finlandaise, lundi prochain.

La présence de l'Iran et de la Russie en Syrie va continuer à protéger le pays contre les groupes terroristes et les agressions américaine, a dit le haut responsable iranien.

M. Velayati, ancien ministre iranien des Affaires étrangères, et actuel conseiller du guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, pour les relations internationales, s'est rendu à Moscou mercredi pour transmettre à M. Poutine les messages de M. Khameini et du président iranien, Hassan Rouhani.

 
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L'Iran estime qu'Israël ne peut pas affecter ses liens avec la Russie

French.xinhuanet.com | Publié le 2018-07-14 à 03:13

TÉHÉRAN, 13 juillet (Xinhua) -- Un proche conseiller du guide suprême iranien a dit vendredi qu'Israël ne peut pas affecter les liens cordiaux entre l'Iran et la Russie, a rapporté PressTV.

Les remarques ont été faites par Ali Akbar Velayati, à Moscou, vendredi, soit deux jours après la rencontre entre le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et le président russe, Vladimir Poutine.

Mercredi, M. Nétanyahou a réitéré l'exigence d'Israël : "l'Iran doit quitter la Syrie."

"Le processus de développement des relations entre l'Iran et la Russie n'est pas unilatéral et par conséquent, les exigences inappropriées, dénuées de sens et interventionnistes de M. Nétanyahou n'affectent pas les relations entre l'Iran et la Russie," a dit M. Velayati.

Le rôle de l'Iran en Syrie sera l'un des sujets clés qui seraient abordés lors du prochain sommet entre M. Poutine et son homologue américain Donald Trump, à Helsinki, la capitale finlandaise, lundi prochain.

La présence de l'Iran et de la Russie en Syrie va continuer à protéger le pays contre les groupes terroristes et les agressions américaine, a dit le haut responsable iranien.

M. Velayati, ancien ministre iranien des Affaires étrangères, et actuel conseiller du guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, pour les relations internationales, s'est rendu à Moscou mercredi pour transmettre à M. Poutine les messages de M. Khameini et du président iranien, Hassan Rouhani.

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