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La Jordanie rejette l'appel de l'ONU pour fournir un refuge temporaire aux Syriens déplacés

 
French.xinhuanet.com | Publié le 2018-07-05 à 23:20

AMMAN, 5 juillet (Xinhua) -- La Jordanie a rejeté jeudi l'appel lancé par les Nations Unies pour ouvrir des zones temporaires sur son territoire destinées aux Syriens déplacés coincés à la frontière dans le sud de la Syrie.

Le ministre d'Etat jordanien des Affaires médiatiques, Jumana Ghunaimat, a déclaré dans un communiqué de presse que la demande de l'ONU ne sert pas les intérêts de la Jordanie.

Le ministre a expliqué que la Jordanie ne compte pas ouvrir la frontière avec la Syrie, ajoutant que la communauté internationale et l'ONU doivent déployer des efforts pour fournir un abri sûr aux Syriens déplacés en Syrie.

Dans un communiqué de presse publié jeudi, le Haut-Commissaire des Nations unies pour les réfugiés, Filippo Grandi, s'est dit "extrêmement inquiet" pour les civils pris dans les échanges de tirs dans le sud et l'ouest de la Syrie, où environ 750.000 personnes sont en danger.

 
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La Jordanie rejette l'appel de l'ONU pour fournir un refuge temporaire aux Syriens déplacés

French.xinhuanet.com | Publié le 2018-07-05 à 23:20

AMMAN, 5 juillet (Xinhua) -- La Jordanie a rejeté jeudi l'appel lancé par les Nations Unies pour ouvrir des zones temporaires sur son territoire destinées aux Syriens déplacés coincés à la frontière dans le sud de la Syrie.

Le ministre d'Etat jordanien des Affaires médiatiques, Jumana Ghunaimat, a déclaré dans un communiqué de presse que la demande de l'ONU ne sert pas les intérêts de la Jordanie.

Le ministre a expliqué que la Jordanie ne compte pas ouvrir la frontière avec la Syrie, ajoutant que la communauté internationale et l'ONU doivent déployer des efforts pour fournir un abri sûr aux Syriens déplacés en Syrie.

Dans un communiqué de presse publié jeudi, le Haut-Commissaire des Nations unies pour les réfugiés, Filippo Grandi, s'est dit "extrêmement inquiet" pour les civils pris dans les échanges de tirs dans le sud et l'ouest de la Syrie, où environ 750.000 personnes sont en danger.

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