France : un ex-candidat aux législatives de 2017 placé en garde à vue pour "apologie du terrorisme"

Publié le 2018-03-25 à 20:44 | french.xinhuanet.com

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PARIS, 25 mars (Xinhua) -- Stéphane Poussier, un ancien candidat aux élections législatives de 2017 de la France insoumise, un parti d'extrême gauche français, a été interpellé et placé en garde à vue dimanche pour "apologie du terrorisme", a rapporté la chaîne de télévision française BFMTV.

M. Poussier s'est félicité dans un tweet de la mort du gendarme français Arnaud Beltrame, qui s'est substitué volontairement à une otage lors des attaques terroristes ayant eu lieu vendredi dans le département de l'Aude (sud).

"Quel pied!", a-t-il dit à propos de la mort du gendarme tombé "en héros", comme le président Emmanuel Macron l'a dit.

Ces propos ont suscité un véritable tollé sur les réseaux sociaux, a indiqué BFMTV, ajoutant que la France insoumise et ses représentants se sont immédiatement désolidarisés de Stéphane Poussier et ont condamné ses propos.

Le délit d'"apologie du terrorisme" est sanctionné au maximum par le Code pénal de sept ans d'emprisonnement et de 100.000 euros d'amende lorsque "les faits ont été commis en utilisant un service de communication au public en ligne".

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France : un ex-candidat aux législatives de 2017 placé en garde à vue pour "apologie du terrorisme"

Publié le 2018-03-25 à 20:44 | french.xinhuanet.com

PARIS, 25 mars (Xinhua) -- Stéphane Poussier, un ancien candidat aux élections législatives de 2017 de la France insoumise, un parti d'extrême gauche français, a été interpellé et placé en garde à vue dimanche pour "apologie du terrorisme", a rapporté la chaîne de télévision française BFMTV.

M. Poussier s'est félicité dans un tweet de la mort du gendarme français Arnaud Beltrame, qui s'est substitué volontairement à une otage lors des attaques terroristes ayant eu lieu vendredi dans le département de l'Aude (sud).

"Quel pied!", a-t-il dit à propos de la mort du gendarme tombé "en héros", comme le président Emmanuel Macron l'a dit.

Ces propos ont suscité un véritable tollé sur les réseaux sociaux, a indiqué BFMTV, ajoutant que la France insoumise et ses représentants se sont immédiatement désolidarisés de Stéphane Poussier et ont condamné ses propos.

Le délit d'"apologie du terrorisme" est sanctionné au maximum par le Code pénal de sept ans d'emprisonnement et de 100.000 euros d'amende lorsque "les faits ont été commis en utilisant un service de communication au public en ligne".

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