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La thèse criminelle écartée dans l'incendie du temple de Jokhang à Lhassa

Publié le 2018-02-22 à 16:00 | french.xinhuanet.com

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LHASSA, 22 février (Xinhua) -- Une enquête préliminaire a éliminé tout facteur humain dans l'incendie survenu dans le temple de Jokhang à Lhassa, capitale de la région autonome du Tibet, dans le sud-ouest de la Chine.

Selon le gouvernement local, aucune victime n'est à déplorer. La statue grandeur nature du Bouddha Sakyamuni alors qu'il était âgé de 12 ans est intacte.

L'incendie s'est produit samedi à 18h40 au premier étage de la partie arrière de ce temple sacré, et a été rapidement éteint. Une zone d'environ 50 mètres carrés a été brûlée.

Le plafond doré a été déplacé pour éviter un effondrement ou un nouvel incendie. Des soutiens de protection et des cloisons ont été mis en place autour de la statue.

Le bureau régional des reliques culturelles a indiqué que la totalité des 6.510 reliques culturelles enregistrées ainsi que le bâtiment principal étaient intacts.

L'incendie s'est produit dans la salle de ventilation, construite à la fin des années 1980. Aucune relique culturelle n'y était stockée.

Le temple a ouvert au public comme d'habitude le lendemain de l'incendie.

Le gouvernement local a lancé une inspection à travers la ville afin d'éliminer les risques d'incendie dans les temples importants.

Le temple de Jokhang est un temple renommé pour le bouddhisme tibétain, vieux de plus de 1.300 ans et abritant de nombreux trésors culturels.

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