Suisse : hausse du nombre de cas de violence domestique

Publié le 2017-06-13 à 01:23 | french.xinhuanet.com

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GENEVE, 12 juin (Xinhua) -- Le nombre de cas de violences domestiques a connu une hausse en Suisse en 2016, avec 17.685 infractions enregistrées, a rapporté lundi la presse locale.

Dans trois quarts des cas, ce sont des femmes qui sont les victimes, selon la presse locale, citant l'Office fédéral de la statistique de Suisse.

L'an dernier, 447 femmes ont été victimes de violences domestiques graves, et 18 d'entre elles n'ont pas survécu.

Il y a eu près de 100 cas de lésions corporelles graves en 2016, soit 16% de plus qu'une année auparavant. La plupart des violences se sont produites le plus souvent en fin de semaine, particulièrement le dimanche soir. La moitié des infractions interviennent entre partenaires et 28% entre ex-partenaires.

Dans la catégorie des violences graves, figurent l'homicide ou la tentative d'homicide, mais aussi des délits tels la séquestration et l'enlèvement, la contrainte sexuelle, le viol, les abus sexuels commis sur une personne incapable de discernement ou l'incitation au suicide.

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Suisse : hausse du nombre de cas de violence domestique

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GENEVE, 12 juin (Xinhua) -- Le nombre de cas de violences domestiques a connu une hausse en Suisse en 2016, avec 17.685 infractions enregistrées, a rapporté lundi la presse locale.

Dans trois quarts des cas, ce sont des femmes qui sont les victimes, selon la presse locale, citant l'Office fédéral de la statistique de Suisse.

L'an dernier, 447 femmes ont été victimes de violences domestiques graves, et 18 d'entre elles n'ont pas survécu.

Il y a eu près de 100 cas de lésions corporelles graves en 2016, soit 16% de plus qu'une année auparavant. La plupart des violences se sont produites le plus souvent en fin de semaine, particulièrement le dimanche soir. La moitié des infractions interviennent entre partenaires et 28% entre ex-partenaires.

Dans la catégorie des violences graves, figurent l'homicide ou la tentative d'homicide, mais aussi des délits tels la séquestration et l'enlèvement, la contrainte sexuelle, le viol, les abus sexuels commis sur une personne incapable de discernement ou l'incitation au suicide.

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