Belgique: Charles Michel se défend contre les accusations de la presse turque

Publié le 2017-03-21 à 09:59 | french.xinhuanet.com

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BRUXELLES, 20 mars (Xinhua) -- Le Premier ministre belge Charles Michel a défendu lundi dans un communiqué les valeurs européennes et la secrétaire d'Etat en charge de la lutte contre la pauvreté et l'égalité des chances face aux accusations de la presse turque.

La secrétaire d'Etat Zuhal Demir a en effet été accusée par la presse turque de soutenir le terrorisme en prenant parti pour le PKK, mouvement indépendantiste kurde.

Pour le Premier ministre, ces accusations font partie de la stratégie de polarisation que la Turquie mène envers l'UE au regard du prochain référendum turc qui vise à étendre les pouvoirs du président Recep Tayyip Erdogan.

"Ces fausses accusations sont subversives et blessantes. Nous n'allons pas nous laisser intimider par sa stratégie de campagne", a déclaré Charles Michel. "Cette stratégie consiste à nous provoquer pour réveiller les sentiments nationalistes en Turquie qui se pose en victime", a-t-il ajouté.

Pour Charles Michel, la situation en Turquie ne correspond pas aux standards européens, notamment en ce qui concerne les droits de l'Homme, la liberté d'expression et l'Etat de droit. "En tant qu'Européens, nous continuerons à défendre nos valeurs", a conclu le Premier ministre.

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Belgique: Charles Michel se défend contre les accusations de la presse turque

Publié le 2017-03-21 à 09:59 | french.xinhuanet.com

BRUXELLES, 20 mars (Xinhua) -- Le Premier ministre belge Charles Michel a défendu lundi dans un communiqué les valeurs européennes et la secrétaire d'Etat en charge de la lutte contre la pauvreté et l'égalité des chances face aux accusations de la presse turque.

La secrétaire d'Etat Zuhal Demir a en effet été accusée par la presse turque de soutenir le terrorisme en prenant parti pour le PKK, mouvement indépendantiste kurde.

Pour le Premier ministre, ces accusations font partie de la stratégie de polarisation que la Turquie mène envers l'UE au regard du prochain référendum turc qui vise à étendre les pouvoirs du président Recep Tayyip Erdogan.

"Ces fausses accusations sont subversives et blessantes. Nous n'allons pas nous laisser intimider par sa stratégie de campagne", a déclaré Charles Michel. "Cette stratégie consiste à nous provoquer pour réveiller les sentiments nationalistes en Turquie qui se pose en victime", a-t-il ajouté.

Pour Charles Michel, la situation en Turquie ne correspond pas aux standards européens, notamment en ce qui concerne les droits de l'Homme, la liberté d'expression et l'Etat de droit. "En tant qu'Européens, nous continuerons à défendre nos valeurs", a conclu le Premier ministre.

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