Aéroport d'Orly: l'assaillant abattu a dit "je suis là pour mourir par Allah" en agressant les militaires

Publié le 2017-03-19 à 03:30 | french.xinhuanet.com

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PARIS, 18 mars (Xinhua) -- L'assaillant abattu samedi matin à l'aéroport d'Orly a déclaré que "je suis là pour mourir par Allah (...) Il va y avoir des morts" en agressant la patrouille militaire de l'opération Sentinelle, a fait savoir le procureur de la République de Paris, François Molins, lors d'une conférence de presse tenue samedi soir.

M. Molins a identifié l'assaillant: Ziyed Ben Belgacem. Son casier judiciaire comporte neuf mentions, dont des vols aggravés et du trafic de stupéfiants. Au moment des faits, il était sous contrôle judiciaire. Il avait été mis en examen par le tribunal de Paris en mars 2016 après divers vols par effraction. Il avait été repéré comme radicalisé en prison en 2011/2012 selon M. Molins.

De la cocaïne a été retrouvée chez Ziyed Ben Belgacem lors de la perquisition. On ignore encore si l'agresseur était sous l'emprise de stupéfiants, indique François Molins.

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Aéroport d'Orly: l'assaillant abattu a dit "je suis là pour mourir par Allah" en agressant les militaires

Publié le 2017-03-19 à 03:30 | french.xinhuanet.com

PARIS, 18 mars (Xinhua) -- L'assaillant abattu samedi matin à l'aéroport d'Orly a déclaré que "je suis là pour mourir par Allah (...) Il va y avoir des morts" en agressant la patrouille militaire de l'opération Sentinelle, a fait savoir le procureur de la République de Paris, François Molins, lors d'une conférence de presse tenue samedi soir.

M. Molins a identifié l'assaillant: Ziyed Ben Belgacem. Son casier judiciaire comporte neuf mentions, dont des vols aggravés et du trafic de stupéfiants. Au moment des faits, il était sous contrôle judiciaire. Il avait été mis en examen par le tribunal de Paris en mars 2016 après divers vols par effraction. Il avait été repéré comme radicalisé en prison en 2011/2012 selon M. Molins.

De la cocaïne a été retrouvée chez Ziyed Ben Belgacem lors de la perquisition. On ignore encore si l'agresseur était sous l'emprise de stupéfiants, indique François Molins.

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