Fusillade dans un lycée à Grasse: François Hollande écarte la piste terroriste

Publié le 2017-03-17 à 08:06 | french.xinhuanet.com

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PARIS, 16 mars (Xinhua) -- Le président français François Hollande a déclaré que l'auteur de la fusillade survenue ce jeudi dans un lycée de Grasse (Alpes-Maritimes, dans le sud-est de la France) n'avait "pas de lien direct avec une entreprise terroriste".

"L'enquête est en cours, mais même si il n'y a pas de lien direct avec une entreprise terroriste, nous restons extrêmement vigilants" a-t-il affirmé aux médias français.

Selon plusieurs médias français, une centaine de lycéens qui étaient confinés par sécurité ont pu quitter le lycée de Tocqueville vers 16 heure (heure locale) où s'est déroulée l'attaque faisant huit blessés dont trois visés par l'auteur présumé, un élève en classe de 1ère Littéraire âgé de 17 ans.

L'enquête en cours doit déterminer si l'individu interpellé est bien l'auteur de l'attaque et s'il a bénéficié de complices. Il s'agirait du fils d'un élu de la mairie de Grasse.

Christian Estrosi, président de la région PACA a déclaré à plusieurs médias avoir pu recueillir le témoignage du proviseur du lycée, blessé légèrement : "le proviseur m'a dit qu'il y avait cet élève dans un escalier, et qu'il a essayé de tout faire pour l'apaiser, malheureusement il n'y est pas parvenu et a reçu une balle dans le bras". Les trois élèves touchés par du plomb ne sont pas "physiquement terriblement touchés", mais ont subi "un profond traumatisme" et sont hospitalisés à Grasse a-t-il précisé.

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Fusillade dans un lycée à Grasse: François Hollande écarte la piste terroriste

Publié le 2017-03-17 à 08:06 | french.xinhuanet.com

PARIS, 16 mars (Xinhua) -- Le président français François Hollande a déclaré que l'auteur de la fusillade survenue ce jeudi dans un lycée de Grasse (Alpes-Maritimes, dans le sud-est de la France) n'avait "pas de lien direct avec une entreprise terroriste".

"L'enquête est en cours, mais même si il n'y a pas de lien direct avec une entreprise terroriste, nous restons extrêmement vigilants" a-t-il affirmé aux médias français.

Selon plusieurs médias français, une centaine de lycéens qui étaient confinés par sécurité ont pu quitter le lycée de Tocqueville vers 16 heure (heure locale) où s'est déroulée l'attaque faisant huit blessés dont trois visés par l'auteur présumé, un élève en classe de 1ère Littéraire âgé de 17 ans.

L'enquête en cours doit déterminer si l'individu interpellé est bien l'auteur de l'attaque et s'il a bénéficié de complices. Il s'agirait du fils d'un élu de la mairie de Grasse.

Christian Estrosi, président de la région PACA a déclaré à plusieurs médias avoir pu recueillir le témoignage du proviseur du lycée, blessé légèrement : "le proviseur m'a dit qu'il y avait cet élève dans un escalier, et qu'il a essayé de tout faire pour l'apaiser, malheureusement il n'y est pas parvenu et a reçu une balle dans le bras". Les trois élèves touchés par du plomb ne sont pas "physiquement terriblement touchés", mais ont subi "un profond traumatisme" et sont hospitalisés à Grasse a-t-il précisé.

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