Rencontre entre Mike Pence et Charles Michel à Bruxelles

Publié le 2017-02-20 à 03:50 | french.xinhuanet.com

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BRUXELLES, 19 février (Xinhua) -- Le Premier ministre belge Charles Michel a accueilli dimanche soir le vice-président américain Mike Pence en visite à Bruxelles, seconde étape d'une tournée européenne visant à rassurer les alliés inquiets des propos du nouveau locataire de la Maison Blanche.

"Very happy to meet you", a lancé Charles Michel à l'adresse de M. Pence qui a remercié le chef du gouvernement de l'accueillir "dans un si bel endroit" (château de Val Duchesse à Bruxelles), lors d'une conférence de presse conjointe qui n'a duré que 50 secondes.

Le ministre des Affaires étrangères de Belgique, Didier Reynders, était également présent pour cet entretien dînatoire, qui représente le premier contact diplomatique entre la Belgique et la nouvelle administration américaine.

Auparavant, le Premier ministre belge a indiqué à la RTBF sur quels sujets ils s'entretiendra avec le vice-président américain. Charles Michel souhaite tout d'abord souligner l'importance de l'amitié qui existe entre les Etats-Unis et la Belgique, avant d'aborder plusieurs thèmes qui inquiètent les Etats membres de l'Union européenne.

D'après Charles Michel, le président américain Donald Trump a pris certaines positions qui vont à l'encontre du multilatéralisme. Notamment dans le domaine du financement des Nations Unies et de l'OTAN. Dans le domaine économique, l'isolationnisme affiché par l'administration Trump pose problème à la croissance économique mondiale. Les Européens réclament des précisions.

Après avoir participé à la Conférence annuelle sur la sécurité, à Munich en Allemagne, le vice-président des Etats-Unis est arrivé ce dimanche soir à Bruxelles. Lundi, Mike Pence visitera les institutions européennes et le siège de l'OTAN dans la capitale belge. Il va rencontrer notamment les présidents du Conseil européen et de la Commission, Donald Tusk et Jean-Claude Juncker.

M. Pence a martelé samedi que l'engagement des Etats-Unis au sein de l'OTAN était "inébranlable", un discours destiné à des alliés inquiets des propos de M. Trump.

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Rencontre entre Mike Pence et Charles Michel à Bruxelles

Publié le 2017-02-20 à 03:50 | french.xinhuanet.com

BRUXELLES, 19 février (Xinhua) -- Le Premier ministre belge Charles Michel a accueilli dimanche soir le vice-président américain Mike Pence en visite à Bruxelles, seconde étape d'une tournée européenne visant à rassurer les alliés inquiets des propos du nouveau locataire de la Maison Blanche.

"Very happy to meet you", a lancé Charles Michel à l'adresse de M. Pence qui a remercié le chef du gouvernement de l'accueillir "dans un si bel endroit" (château de Val Duchesse à Bruxelles), lors d'une conférence de presse conjointe qui n'a duré que 50 secondes.

Le ministre des Affaires étrangères de Belgique, Didier Reynders, était également présent pour cet entretien dînatoire, qui représente le premier contact diplomatique entre la Belgique et la nouvelle administration américaine.

Auparavant, le Premier ministre belge a indiqué à la RTBF sur quels sujets ils s'entretiendra avec le vice-président américain. Charles Michel souhaite tout d'abord souligner l'importance de l'amitié qui existe entre les Etats-Unis et la Belgique, avant d'aborder plusieurs thèmes qui inquiètent les Etats membres de l'Union européenne.

D'après Charles Michel, le président américain Donald Trump a pris certaines positions qui vont à l'encontre du multilatéralisme. Notamment dans le domaine du financement des Nations Unies et de l'OTAN. Dans le domaine économique, l'isolationnisme affiché par l'administration Trump pose problème à la croissance économique mondiale. Les Européens réclament des précisions.

Après avoir participé à la Conférence annuelle sur la sécurité, à Munich en Allemagne, le vice-président des Etats-Unis est arrivé ce dimanche soir à Bruxelles. Lundi, Mike Pence visitera les institutions européennes et le siège de l'OTAN dans la capitale belge. Il va rencontrer notamment les présidents du Conseil européen et de la Commission, Donald Tusk et Jean-Claude Juncker.

M. Pence a martelé samedi que l'engagement des Etats-Unis au sein de l'OTAN était "inébranlable", un discours destiné à des alliés inquiets des propos de M. Trump.

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