Les dirigeants de l'UE promettent de mettre en oeuvre les accords existants sur la migration

Publié le 2016-02-19 à 20:04 | french.xinhuanet.com

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BRUXELLES, 19 février (Xinhua) -- Les dirigeants de l'Union européenne (UE) sont convenus vendredi de mettre en oeuvre les accords existants relatifs à la crise migratoire actuelle en Europe, en particulier en ce qui concerne la coopération avec la Turquie.

"L'application totale et rapide du plan d'action entre la Turquie et l'UE reste la priorité pour endiguer les flux de migrants et faire face aux réseaux de trafiquants et de contrebandiers", ont conclu les dirigeants à l'issue d'un sommet de deux jours.

Le plan d'action a été signé en novembre 2014 entre la Turquie et l'UE. Aux termes de ce document, la Turquie a accepté de protéger les frontières de l'UE contre les flux de migrants en échange de trois milliards de dollars et du réexamen de sa candidature d'adhésion à l'UE.

Lors d'une conférence de presse conjointe avec le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, le président du Conseil européen Donald Tusk a déclaré que l'UE organiserait une réunion spéciale avec la Turquie début mars.

Les dirigeants de l'UE ont salué le soutien de l'OTAN à la surveillance des passages illégaux en mer Egée et appelé tous les membres de l'OTAN à soutenir activement cette mesure.

Ils ont également appelé toutes les institutions de l'UE et de tous les pays membres à rester unies.

"Nous devons chercher à faire une synthèse des différentes approches. Il n'y a pas de bonne alternative à un plan européen global", a estimé M. Tusk.

Des efforts conjoints seront nécessaires pour résoudre la crise migratoire, a indiqué M. Juncker, avant d'ajouter qu'"une approche individuelle au niveau national n'était pas recommandable".

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Les dirigeants de l'UE promettent de mettre en oeuvre les accords existants sur la migration

Publié le 2016-02-19 à 20:04 | french.xinhuanet.com

BRUXELLES, 19 février (Xinhua) -- Les dirigeants de l'Union européenne (UE) sont convenus vendredi de mettre en oeuvre les accords existants relatifs à la crise migratoire actuelle en Europe, en particulier en ce qui concerne la coopération avec la Turquie.

"L'application totale et rapide du plan d'action entre la Turquie et l'UE reste la priorité pour endiguer les flux de migrants et faire face aux réseaux de trafiquants et de contrebandiers", ont conclu les dirigeants à l'issue d'un sommet de deux jours.

Le plan d'action a été signé en novembre 2014 entre la Turquie et l'UE. Aux termes de ce document, la Turquie a accepté de protéger les frontières de l'UE contre les flux de migrants en échange de trois milliards de dollars et du réexamen de sa candidature d'adhésion à l'UE.

Lors d'une conférence de presse conjointe avec le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, le président du Conseil européen Donald Tusk a déclaré que l'UE organiserait une réunion spéciale avec la Turquie début mars.

Les dirigeants de l'UE ont salué le soutien de l'OTAN à la surveillance des passages illégaux en mer Egée et appelé tous les membres de l'OTAN à soutenir activement cette mesure.

Ils ont également appelé toutes les institutions de l'UE et de tous les pays membres à rester unies.

"Nous devons chercher à faire une synthèse des différentes approches. Il n'y a pas de bonne alternative à un plan européen global", a estimé M. Tusk.

Des efforts conjoints seront nécessaires pour résoudre la crise migratoire, a indiqué M. Juncker, avant d'ajouter qu'"une approche individuelle au niveau national n'était pas recommandable".

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