Les présidents français et béninois appellent le président du Burundi à "mettre fin aux violences dans son pays"

Publié le 2016-02-08 à 21:01 | french.xinhuanet.com

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PARIS, 8 février (Xinhua) -- Le président français François Hollande et son homologue béninois Thomas Boni Yayi ont conjointement appelé lundi à Paris le président du Burundi à "mettre fin aux violences dans son pays et à accepter de dialoguer avec ses opposants sans condition préalable", a annoncé lundi la présidence française dans un communiqué.

François Hollande a reçu le 8 février, au Palais de l'Elysée, son homologue béninois Thomas Boni Yayi. "Il lui a exprimé ses félicitations pour ses deux mandats à la tête de la République du Bénin et a souligné la vitalité de la démocratie béninoise. Il a exprimé le souhait que les élections présidentielles de fin février se passent dans les meilleures conditions", a ajouté le communiqué de l'Elysée.

Les deux chefs d' Etat ont évoqué la situation dans la région et "marqué leur mobilisation pour lutter contre les groupes terroristes en Afrique de l' Ouest", a précisé l'Elysée.

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Les présidents français et béninois appellent le président du Burundi à "mettre fin aux violences dans son pays"

Publié le 2016-02-08 à 21:01 | french.xinhuanet.com

PARIS, 8 février (Xinhua) -- Le président français François Hollande et son homologue béninois Thomas Boni Yayi ont conjointement appelé lundi à Paris le président du Burundi à "mettre fin aux violences dans son pays et à accepter de dialoguer avec ses opposants sans condition préalable", a annoncé lundi la présidence française dans un communiqué.

François Hollande a reçu le 8 février, au Palais de l'Elysée, son homologue béninois Thomas Boni Yayi. "Il lui a exprimé ses félicitations pour ses deux mandats à la tête de la République du Bénin et a souligné la vitalité de la démocratie béninoise. Il a exprimé le souhait que les élections présidentielles de fin février se passent dans les meilleures conditions", a ajouté le communiqué de l'Elysée.

Les deux chefs d' Etat ont évoqué la situation dans la région et "marqué leur mobilisation pour lutter contre les groupes terroristes en Afrique de l' Ouest", a précisé l'Elysée.

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