France : cinq lycées évacués à Paris en raison de menaces téléphoniques

Publié le 2016-01-28 à 20:38 | french.xinhuanet.com

Taille du Texte
T+ | T-

RSS

Partager


 

 

PARIS, 28 janvier (Xinhua) -- Cinq lycées parisiens ont été évacués jeudi en raison de menaces téléphoniques, ont rapporté jeudi l'académie et le rectorat de Paris.

"Suite à des menaces, les élèves des lycées Charlemagne, Condorcet, Hélène Boucher, Louis Le Grand et Victor Hugo sont mis à l'abri, selon les consignes de sécurité prévues par chaque établissement", a expliqué jeudi l'académie de Paris dans un communiqué, précisant que "la police (sécurisait) les lieux".

Sur son compte Twitter l'académie indiquait également que les élèves ont été "mis à l'abri".

De son côté, le rectorat a fait savoir qu'il s'agissait de "menaces téléphoniques mais pas d'alertes à la bombe".

Selon les informations du journal Le Parisien, les "auteurs de ces menaces (...) ont indiqué qu'ils allaient se rendre dans ces établissements munis 'de bombes et de fusils d'assaut kalachnikov pour faire un maximum de victimes'".

Mardi, six établissements prestigieux de la capitale - Charlemagne, Fénelon, Montaigne, Condorcet, Henri-IV et Louis-le-Grand - avaient reçu des appels anonymes indiquant la présence d'engins explosifs. L'alerte avait été totalement levée en fin d'après-midi", rappelait pour sa part jeudi le quotidien Le Figaro.

french.xinhuanet.com

France : cinq lycées évacués à Paris en raison de menaces téléphoniques

Publié le 2016-01-28 à 20:38 | french.xinhuanet.com

PARIS, 28 janvier (Xinhua) -- Cinq lycées parisiens ont été évacués jeudi en raison de menaces téléphoniques, ont rapporté jeudi l'académie et le rectorat de Paris.

"Suite à des menaces, les élèves des lycées Charlemagne, Condorcet, Hélène Boucher, Louis Le Grand et Victor Hugo sont mis à l'abri, selon les consignes de sécurité prévues par chaque établissement", a expliqué jeudi l'académie de Paris dans un communiqué, précisant que "la police (sécurisait) les lieux".

Sur son compte Twitter l'académie indiquait également que les élèves ont été "mis à l'abri".

De son côté, le rectorat a fait savoir qu'il s'agissait de "menaces téléphoniques mais pas d'alertes à la bombe".

Selon les informations du journal Le Parisien, les "auteurs de ces menaces (...) ont indiqué qu'ils allaient se rendre dans ces établissements munis 'de bombes et de fusils d'assaut kalachnikov pour faire un maximum de victimes'".

Mardi, six établissements prestigieux de la capitale - Charlemagne, Fénelon, Montaigne, Condorcet, Henri-IV et Louis-le-Grand - avaient reçu des appels anonymes indiquant la présence d'engins explosifs. L'alerte avait été totalement levée en fin d'après-midi", rappelait pour sa part jeudi le quotidien Le Figaro.

010020070770000000000000011107401350547181